Répondre à : Les aventure de l’agent K
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Leningrad 7h30 du matin, l’agent A et l’agent K, remonte la perspective Lityeni, pour rejoindre le bureau du général Amarante. Ce matin ils doivent interroger L’ignoble traitresse trotsko titiste S.
Dans le froid de la Venise du Nord, elles jubilent, elles vont enfin pouvoir se venger de leur ennemie qu’elles ont pourchassée si longtemps.
Elles montent les étages de l’élégant immeuble qui abrite les bureaux du KGB de Leningrad. Amarante les attend tout sourire il a d’ores et déjà sorti sa machine à fesser équipée de ces plus cruels instruments.
Les deux agents les observent les uns après les autres, avec gourmandise. L’agent A commentant les plus intéressants avec érudition. Elles aiment connaître l’histoire des instruments des plus grands chefs du KGB.
Pendant ce temps, l’ignoble agente trotsko titiste S est amenée par 2 geôliers. Amarante la fait mettre nue et attacher à son engin. “Bien, Agent A, par quoi on commence ?”
L’agent A choisi un robuste paddle que Amarante c’était procuré pendant la Grande guerre patriotique, au détriment d’un nazi. Elle n’avait pas eue l’occasion de le voir à l’époque, mais connaissait son efficacité. Et le trouvait parfaitement adapté à cette dégénérée de S.
Amarante pris donc le pesant objet de bois noirci et le présenta avec un aimable sourire à S. Ma chère amie j’espère que ce sympathique paddle va vous plaire. Je vais régler ma machine sur “vigoureux”. Nous avons besoin de réponses rapides. Sur ces mots il installa l’instrument et enclencha son appareil et un premier coup s’abattît sur le derrière de S qui poussa un cri.
Bien mademoiselle si nous parlions de vos petites soirées. Où recrutiez-vous les dégénérés qui participaient à vos soirées ? Qui est le bellâtre attrapé par l’agent K â Moscou ? Pourquoi ces lettres écrites de façon ridicules ? Avez-vous des complices à l’étranger ? Qui était attendu hier ? Ses questions étaient rythmées par le paddle, mais S tenait bon et ne lâchait rien si ce n’est des cris stridents.
Ses fesses étaient déjà rouges vives quand Amarante fit une pause stoppant sa machine. Je vois elle est coriace dit-il aux deux agents de MM, c’est toujours plus amusant quand elles résistent n est-ce pas ?
Une autre suggestion les filles dit-il en montrant ses instruments. L’agent K choisi un épais strap en vieux cuir et le tandis au général. Celui-ci l’installa et relança la machine. Tandis que le strap cinglait les fesses de la traitre, la valses de ses questions reprenaient.
Cette fois ci l’ignoble agente trotsko titiste S commençait à craquer et Amarante fit une pause, la laissant reprendre son souffle. Puis relança la machine sur le mode sévère cette fois. Et commença à noter quelques réponses sur les questions mineures.
Il refit une payse et S s’effondra du peu que lui permettaient ses entraves. Bien vous voyez le tout et de commencer à les faire parler, une fois lancé avec la douleur qui continue toujours plus cruellement, elles ne peuvent plus s’arrêter même sur les questions les plus importantes.
Il décrocha le strap et choisi, lui-même, un long martinet en cuir d’hippopotame qu’il s’était fait fabriqué. Cette petite merveille à fait ces preuves vous allez voir, et attention que je ne l’emploi pas sur vous si vous n’êtes pas sages, ajouta-t-il en plaisantant, sans se préoccuper de sa victime terrorisée par le martinet.
Tandis que le martinet fouettais S, il repris calmement, bien nous savions déjà tout cela, nous voulons des réponses sur des points importants. Où sont les ennemis du peuple que vous fréquentez. S ne tenait plus et commença à citer divers groupes situés dans des grandes villes d’URSS. A et l’agent K notèrent tous les noms et adresses, tandis que le sifflement du martinet ponctuait les aveux.
Amarante après avoir obtenu suffisamment de noms, arrêta la machine. Et commanda un thé et une bouteille de vodka. Je fais toujours une petite pause dans la matinée, servez-vous mesdames.
Ils devisèrent un peu en commentant les divers groupes d’ennemis du peuple, et en décidant lesquels devaient être éliminés en premier. Amarante fit même servir un thé à l’ignoble trotsko titiste S pour qu’elle garde une voix claire. Une fois le thé et la bouteille (essentiellement grâce à la contribution de l’agent A) finis, ils se levèrent et regagnèrent leurs postes devant S.
Bien un dernière question, la plus importante, agent A choisissez la canne qui vous semble la plus cruelle, je sais que vous vous y connaissez bien. Après qu’elle ait testé les divers ustensiles, l’agent A lui ramena celle qui lui plaisait. Il l’installa. En expliquant les diverses prises de sa machines adaptées à chaque type d’instrument. Et remis en marche …
Il laissa silencieusement la canne imprimer 5 traces rectilignes sur le derrière de S, en se délectant de la vibration de la canne et des cris qu’elle procurait. Puis lui posa des questions sur ses complices en occident. S tenta de résister mais fini par confesser être en relation avec un agent pervers du MI5 un obscur aristo des Highlands surnommé M’lord.
Cette dernière information prise, Amarante arrêta sa machine, détacha l’ignoble S qui s’effondra, et la fit traîner dans ses geôles. Je vous l’offrirai en cadeau si notre petite soirée se passe bien agent A, vous pourrez enfin en finir avec elle … comme il vous plaira. Maintenant allons visiter l’Ermitage et nous promener le long de la Neva j’aime la culture et la douceur après la torture. Ils partirent tous les 3 dans les rues de Leningrad satisfait d’une matinée constructive.
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Cette réponse a été modifiée le il y a 4 années et 11 mois par
Karima.