Répondre à : Les aventure de l’agent K
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Tandis que l’agent K présentait Molotov aux amies de l’ignoble S, L’agent A traînait cette dernière toujours déculottée vers la chambre. Après l’avoir jetée sur le lit, elle entreprend de la lier avec un fil métallique. Une fois saucissonnée correctement, elle sort tranquillement ces badines taillées à cet effet. « Alors S depuis le temps que je te cherche heureuse de me rencontrer enfin », dit-elle avec un sourire sadique. Elle lui présente ensuite tranquillement les différentes essences composant ses badines : noisetiers bouleaux … puis entreprend de lui faire goûter. L’infâme S ne peut retenir ses cris il s’agit là d’une véritable correction dans la tradition du KGB pas un stupide amusement de vile agent de l’occident. Ses cris se mêlent à ceux des victimes de l’agent K mais cela ne fait que stimuler le sadisme de A qui peut enfin se venger des odieux crimes de S. L’agent A enchaîne badines après badines striant les fesses et les cuisses de son ennemie. Au bout d’un bon moment sa complice K fini par la rejoindre. Elle semble avoir fini avec les autres. Tu tombes bien très cher lui souris A notre ami S attendait la visite de Molotov je crois ! S essaye de les supplier en leurs disant qu’elle pourrait leurs communiquer des informations sur les autres “vilaines” (le nom que s’attribuerait ses stupides complices), mais les 2 agents lui répondent qu’elle parlera plus tard entre les mains du camarade Amarante chef local du KGB. L’agent K déplie son cruel fouet et lui administre quelques coups lui zébrant le dos. Pendant que leurs hommes embarquent les autres potiches et les preuves présentes dans le salon. Après s’être bien amusées nos 2 agents préférées finissent par faire cesser leurs tourments, pour qu’elle soit encore “utilisable” pour l’interrogatoire. Elles la détachent, sanglante les poignets entaillés par le lien puis la charge dans le coffre de leur Zill.
Elles foncent à toute allure dans la nuit direction du 4 de la perspective Liteyny où se tienne les bureaux du KGB de Leningrad. Le général Amarante déjà prévenu de leur arrivée les attend tout sourire. « Félicitation mesdemoiselles, votre efficacité est aussi vrai que la légende je vois ». Il les invite à le rejoindre dans son bureau où ils pourront obtenir plus d’information. Le temps que les criminelles trotsko-titistes lui soient livrées, il leur offre un thé, puis leur présente le subtil instrument qu’il s’est fait aménager au fond de son bureau. En effet des chaines sont installées au sol et au plafond ce qui permet d’entraver ses victimes aux pieds et aux mains. Mais s’empresse-t-il d’ajouter tout cela est mécanisé, les victimes ici attachées défilent en tournant vers cette sympathique machine. L’agent A regarde avec délice ce subtil instrument. Amarante repérant son manège lui dit. Bien sûr cette machine est aussi utilisable pour le loisir, j’ai même des réglages plus subtils à vous faire découvrir si vous êtes libre un soir durant votre séjour. Mais pour l’heure occupons-nous de ces ignobles ennemies du Peuple. Sur ces mots deux des complices de S leurs sont livrées, Amarante les attache donc, puis met en route la machine, les deux ridicules complices de l’Occident tournent en piaillant devant un strap et un épais martinet. Tout en finissant son thé, Amarante observe la scène en montrant à ces jeunes invitées comment il peut moduler la vitesse et l’intensité des 2 bras motorisés animant ses instruments cruels. Très vite les deux criminelles avouent qu’elles ont des complices à l’étranger mais que seule S en sait plus. Amarante jugeant que l’heure est trop tardive pour mener à bien la suite de l’interrogatoire, les fait renvoyer en cellule et invite les 2 agents à venir manger en ville avec lui, il a une autre affaire à leur confier. Ils descendent et rejoignent un petit restaurant au bord de la Neva, face au musée de l’Ermitage autre fois demeure de ces infâmes Tsar chassés et massacrés par le glorieux Lénine. Pendant qu’ils dégustent leur repas, Amarante leurs confie qu’il a de sérieuses méfiance à l’égard du fameux Iago qu’elles ont croisées dans le train et qu’il compte sur elles pour se rendre à sa soirée et en savoir plus sur ses agissement. L’agent A lui assure qu’elle serait ravie de confondre et de lui livrer ce sinistre individu. Il les raccompagne ensuite à leur hôtel, leur faisant découvrir quelques richesse de la ville, leur promettant une visite plus approfondie quand elles seront plus en forme et leur donne rendez-vous le lendemain à son bureau pour interroger S.
Bon pour une fois les agents K et A ont été sage durant la nuit, A devant se remettre de sa nuit précédente. Navrée génial public vous n’aurez pas de nuit endiablée aujourd’hui, mais le séjour à Leningrad ne fait que commencer !