Répondre à : Who’s the bad girl ?
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Bon, bon, et bien voilà un petit souvenir d’une première, dans la catégorie oups.
Nous sommes dans le salon, la lumière est tamisée et dorée, on dine, le repas est délicieux. La soirée est douce, les conversations gaies, et tout d’un coup, boulette, je dérape. Je dis un truc qu’il ne faut pas et je le sais, ça va partir en cacahuète . Le ton monte un peu, je réponds (comme d’habitude), il reprend, me regarde droit dans les yeux et me dit :
-Toi, tu la cherches ta fessée ce soir.
Mon cœur s’arrête puis s’emballe.
Je ne sais plus. Je pense ou plutôt « je sens » que sur mon visage se déroulent toutes mes expressions : surprise (ma lèvre s’affaisse), hésitation (ma bouche s’est carrément entrouverte), confusion (que vais-je répondre ?oh mince ! mes joues rosissent !), gène(je vois bien qu’il voit tout ça avec son air narquois, je suis carrément rouge maintenant).
Je rouvre la bouche pour une tentative de..(de quoi d’ailleurs ?) :
-je ne suis pas sûre que …
Il me coupe :
– que tu aies toujours à « la ramener »?
Je réponds en baissant les yeux et dit un tout petit :
-Bon d’accord. C’est vrai, tu as raison.
(Je suis horrifiée intérieurement. Je viens de valider et le fait qu’il avait raison dans la discussion et le fait que je cherche une fessée… !!!, je ne l’avais pas vue celle-là).
Il se lève en disant : Bon soit ! et il va dans la chambre. Il revient et me tend une petite boule noire soyeuse en me disant :
-Va te préparer tu as 3 min !
Je file dans la chambre, ouvre ma main et y découvre une paire de collants. Je rouvre la porte et lui dit :
– Avec ou sans culotte ?
Il me répond :
-Sans !
Je reconnais bien là son côté fétichiste : les bas et les collants, il adore et moi aussi.
D’ailleurs, après observation : oh non ! il me reste 2 minutes et il m’a donné les collants qu’il a déchirés la dernière fois.
Comment je vais remettre ça ? la jambe droite ok, la gauche…mince ! mais pourquoi elle ne remonte que jusqu’à mi-cuisse ? Me voilà prise dans cette toile. Perdu. Il me faut tout recommencer. Le deuxième essai est le bon, j’ai deux jambes à nouveau.
Je me regarde dans le miroir et,
Bon sang !!!Ce que je vois me plait mais alors zut ! Ce n’est pas ce à quoi je m’attendais !
Le collant se place parfaitement bien au niveau des jambes jusque mi-cuisse comme des bas. Il n’a plus d’entre jambe, mon sexe nu est totalement à l’air. Je me retourne fesses vers le miroir pour voir. Je ne suis pas déçue, ou plutôt si. Mes fesses sont nues au centre, juste recouvertes sur les côtés par le fin nylon.
C’est le moment où il décide d’entrer dans la pièce.
Je me relève illico presto face à lui les fesses devant le miroir- un peu confuse qu’il m’ait vue ainsi penchée en avant en train de reluquer ce gigantesque « trou de collant »-.
Lui, sourire malin aux lèvres, ajoute:
– ça n’a pas dû être facile à remettre.
Puis, sans taquinerie, il me dit :
-Viens là. en tapotant le lit.
Je m’exécute, et c’est à genoux devant lui sur le lit, le dos bien droit, cambrée, les épaules en arrière et les seins fiers, que je le regarde droit dans les yeux.
Il me montre un autre bas :
– celui-là c’est pour te bander les yeux (pendant qu’il serre le bas, je replace juste mes cheveux pour qu’ils ne fassent pas glisser le bandeau ainsi improvisé).
Les 2 premiers coups de ceinture m’ont fait glapir de surprise. Il les a fait tomber juste sur le bas des reins, pas encore sur la fesse, mordants, cinglants, surprenants. Mes mains sont venues instinctivement protéger mes fesses. Il me dit :
– Ah non ! et 3 coups de ceinture sur la paume de la main me font la refermer et la replacer sagement au centre de mon dos.
Ah ! me dis-je et bien pas un son ne sortira ! de toutes façons ça ne fait même pas mal.oh p**** ! si ! si !si !ça fait mal.
Je ne bouge plus. J’ai reposé mes 2 mains sur le lit pour garder mon équilibre. La ceinture cingle, mes fesses brûlent.
Je pense que j’ai commencé à compter pour moi à partir de 6, dans ma tête, mais je perds un peu le fil, je ne sais plus vraiment où j’en suis là, et il n’arrête pas…
J’ai le fessier en feu mais étonnement ça ne fait pas (ou plus ?) mal.
Je me « vois » dans ma tête, je m’imagine, bien cambrée, le cul rougi, le bandeau sur les yeux, les collants ouverts sur mes fesses, lui derrière moi. Je le « vois », aussi.
Si homme, autant que je suis femme.
Je sens la chaleur de mes fesses, juste sur leur milieu, qui irradie jusque mon sexe.
Je sais que je suis trempée, toute ouverte, entièrement offerte. Il peut voir en moi, jusqu’aux pensées.
Définitivement grillée.
J’aime la fessée…appuyée. Aussi.
Se révèle être "comme une boule de flipper,qui roule qui roule...".