Répondre à : fin de messe…euh main aux fesses?

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#38550
anatole
Participant


Elle pénétra dans l’église sombre et fraîche malgré la chaleur extérieure. Pendant tout le trajet, elle avait senti l’excitation monter et elle se dit que finalement, ce n’avait pas été la peine de garder cette petite culotte souillée depuis la veille. Rien que sur les quelques centaines de mètres qu’elle venait de parcourir, elle la sentait de nouveau détrempée. Son rythme cardiaque s’affolait au fil de sa progression, et elle se sentait totalement folle d’oser….D’ailleurs, elle savait que peut être au dernier moment, elle n’oserait pas aller au bout de son projet.
Hormis cette petite culotte de dentelle blanche toute humide, elle portait une jupe noire assez courte et un chemisier sombre…Elle n’avait quasiment jamais de soutien gorge…ses seins n’en avaient pas besoin pour se montrer orgueilleux. Ce sont eux qui avaient fait craquer ses rares amants…
Revêtue de cette tenue sombre, elle alla s’installer tout au fond de l’église…L’office avait déjà débuté, et seules trois vieilles rombières postées juste devant l’autel buvaient les paroles du si bel officiant. Elle était sûre qu’il ne pouvait la distinguer à l’endroit où elle se tenait, et d’ailleurs, pas une fois il ne porta son regard sur elle.
Les vêpres touchaient à leur fin, et elle respira profondément, se demandant une dernière fois si elle allait mettre son projet à exécution.
Le prêtre descendit de son estrade et vint à la rencontre des trois vieilles, les remerciant de leur assiduité, les raccompagnant jusqu’à la sortie. La porte claqua en résonnant derrière elles.
Cette fois, elle y était….et une ultime pensée encore plus perverse lui vint. Rapidement, elle passa sa main sous sa jupe et fit glisser sa culotte le long de ses jambes, l’enfermant dans sa main recroquevillée.
Celui par qui elle était là pour se faire punir revenait sur ses pas, et resta un instant interdit lorsqu’elle se leva et se planta devant lui.
« -Mon Père, j’ai besoin de me confesser…. ».
Il bredouilla, décontenancé…En effet, il ne l’avait pas repérée et pensait être seul.
« -Euh, ma fille, est ce vraiment si urgent ?
-Oh oui, mon Père, s’il vous plaît ! ».
Elle osait pour la première fois affronter son regard de si près, se montrant implorante…
« -Eh bien, d’accord…allez vous installez dans le confessionnal, je suis à vous tout de suite… ».
Sur ces derniers mots, serrant encore plus fort sa petite culotte au creux de la main, elle eut l’impression que son cœur allait s’échapper de sa si belle poitrine. Elle tourna les talons et se dirigea vers la haute cage en bois. Elle imagina qu’il avait rivé ses yeux sur son cul qu’elle balançait doucement au rythme de ses pas.
Elle tira la porte qui s’ouvrit sur un léger grincement, et pénétra dans le petit local si sombre, refermant derrière elle. Elle posa ses fesses seulement masquées par sa petite jupe sur le bois dur du petit banc et attendit, aussi confiante qu’apeurée que l’autre porte grince.
Le curé dut vite aller chercher une bouteille d’eau pour reprendre ses esprits et tenter de retrouver un minimum de naturel en accord avec sa fonction.
Enfin, il vint s’asseoir de l’autre côté du grillage de bois la séparant de cette si jolie pénitente.
« -Alors, ma fille, je vous écoute… ».
Elle dut prendre une longue inspiration pour oser se lancer. Elle sentait la pointe de ses seins tendus sous son chemisier.
« – Voilà, mon Père, j’ai péché.
-Oui…dites moi….
-Je ….je suis venue à l’église aujourd’hui, et….
-Oui ?
-Je….je n’ai pas mis de petite culotte…. ».
Le Père faillit s’étrangler….il lui fallait trouver une réplique rapide et la faire sortir le plus vite possible….
« -Eh bien….allons….ce n’est pas si grave….il….il fait si chaud dehors….Notre Seigneur ne vous en voudra pas…ce n’est pas une faute bien grave….
-Mais….il y a autre chose…mon Père… ! »
Elle triturait sa petite culotte trempée et hésita encore quelques secondes….
Mais, il y avait quelque chose qu’elle ne pouvait pas savoir….
Ce jeune curé arrivé depuis peu avait pris l’habitude de temps en temps, en fin d’après midi, de se vêtir « en civil ». Il déposait de larges lunettes noires sur son visage et portait une casquette. Ainsi méconnaissable, il se rendait dans un des cafés bordant la plage, et s’installait en terrasse pour boire une ou deux bières, regardant passer les gens de sa communauté, heureux de pouvoir les observer sans être reconnu.
Et la semaine précédente, il l’avait vue. Cette jeune femme qu’il avait déjà vue à l’église quelques fois, toujours sagement vêtue et si attentive, elle venait de passer devant lui, à quelques centimètres de ses yeux. A travers ses lunettes sombres, il l’avait bien reconnue, malgré sa tenue bien moins sage. Elle portait une tunique blanche nouée sous sa poitrine et largement ouverte sur ses seins, et un mini short qui dévoilait les parfaites rondeurs de ses fesses moulées dans le tissu. Ses jambes bronzées semblaient interminables….Médusé, il la suivit du regard, les yeux rivés sur ce corps si excitant. Elle descendit les quelques marches vers la plage. Lentement, elle se débarrassa de son haut, dévoilant une poitrine à peine masquée par le minuscule maillot de bain, puis se trémoussant, tortillant du cul, elle fit glisser son short sur ses jambes, le jetant dans le sable. La culotte noire de son maillot était si petite que la presque totalité de ses fesses lui explosa au regard. Cette fille qu’il croyait si sage…Quelle tenue provocante. Elle s’étira un instant, puis nonchalamment, se dirigea vers la mer dans laquelle elle plongea sveltement.
Il dût vider son reste de bière d’un trait pour se remettre de cette vision, déposa un billet sur la table et s’enfuit en courant vers la petite maison qui servait de presbytère sans même attendre la monnaie.
Pendant sa course, il ne pouvait détacher ses pensées de ce qu’il venait de voir, et il ressentait bien dans son bas ventre cette chaleur intense qu’il ne connaissait que trop bien. Jeune adolescent, et bien avant de rentrer dans les ordres, il avait eu quelques relations sexuelles avec des jeunes filles de son âge, voire parfois bien plus âgées…Il plaisait déjà beaucoup à cette époque, et se souvenait souvent de ces baignades dans le petit lac voisin de son village, où dans la plus stricte nudité lui, ses copains et….leurs copines allaient se rafraîchir, ce qui débouchait bien souvent sur des actes qu’il ne s’était plus donné le droit de pratiquer depuis de longues années. Ca ne l’empêchait pas bien entendu ou hélas, d’avoir parfois des pensées perverses, et surtout des réactions physiques incontrôlables. Il se punissait bien sûr à chaque fois.
Il s’agenouilla en nage sur le prie Dieu de sa chambre, face au petit crucifix et psalmodia à toute vitesse quelques prières de repentance, avant de se défaire de sa chemise et de se cingler le dos à coups de ceinture.
Il se coucha bien sûr sans dîner, mais la nuit fut agitée.
Il rêva d’elle….et de lui !
Dans son rêve, elle avait installé un prie Dieu dans l’allée centrale de l’église, face à l’autel et au grand crucifix. Elle était à genoux, totalement nue, ayant posé sur l’accoudoir ses bras et ses seins. Son corps si jeune et si sensuel était totalement offert à ses yeux, et il se vit, lui aussi totalement nu, venir la pénétrer dans cette position. Il entendait les pièces de bois du prie Dieu grincer sous les coups de boutoir de son sexe chevauchant cette femme devant la représentation du Seigneur, et ressentait au creux de la paume de ses mains la chaleur de la peau de ce corps qu’il pétrissait de toutes ses forces….
Au petit matin, bien entendu, il bandait comme un taureau, l’esprit encore envahi de ce rêve lubrique.
Cette fois, il n’avait pas d’autre choix. C’est ce sexe infernal et si raide qu’il fouetta de sa ceinture jusqu’à ce qu’il débande….
Le lendemain, ce fut ce dimanche où il la revit dans l’église, dans les tous premiers rangs, et il ne put détacher son regard de cette silhouette qu’il avait possédée en rêve. Il dut encore se punir se flagellant sur tout le corps dès la fin de l’office. Il avait échafaudé des tas d’hypothèses pour se prémunir de ces pensées si vilaines quand il la reverrait à coup sûr le dimanche suivant.
Et là, cinq jours plus tard, elle était là, dans le confessionnal, à quelques centimètres de lui, lui avouant qu’elle ne portait pas de culotte. Encore cette sensation intense qui montait en lui….Non…surtout ne pas flancher, ne pas y penser, ne pas….Il n’était pas au bout de ses peines.
« -Oui, j’ai tellement honte de vous avouer ça mon Père…mais il le faut… ».
Lui aussi avait du mal à respirer…Sa voix fut dure…
« -Quoi ma fille…dépêchez vous et finissons en…. ! »
Oui, bien sûr, bien que dans tous ses états, elle aussi avait ressenti le trouble qui perçait dans la voix du prêtre. Elle tendit son bras et fit glisser quelques centimètres de sa culotte mouillée entre les croisillons de bois…
« -Tenez mon Père, c’est….pour vous..la preuve de mes péchés…. ».
Dans la pénombre, il aperçut ce « machin » blanc bizarre qu’elle tentait de lui faire glisser. Non, il n’aurait pas dû….Jamais….Mais…la curiosité…l’émoi….Machinalement il avança une main tremblante et tâta l’objet….puis tira d’un seul coup….découvrant de quoi il s’agissait.
« -Ma fille….enfin…non….. ! »
Maladroitement, il tenta sans effet de remettre la culotte dans un des trous…
« -Oui, mon Père….c’est en pensant à vous que….j’ai tellement honte…pu….punissez moi…. ! ».
Les dernières syllabes avaient été juste murmurées.
Il n’avait plus la clarté d’esprit de réagir comme il aurait dû. Malgré lui, il porta la culotte contre son visage et renifla…tant de souvenir de ce genre de senteurs éclatèrent dans son esprit….
Un silence si long….seuls leur souffle si rauque….Au point où elle en était maintenant, elle devait aller au bout…
« -Je sais mon père, si vous saviez comme j’ai honte, mais j’ai droit….enfin…il faut bien que je sois pu….
-Sortez….sortez immédiatement….partez…. ! ».
Il avait hurlé….Le silence retomba après les résonances de ces mots sous la voûte de l’église.
Elle porta l’estocade.
« -Mon Père….Punissez moi comme je le mérite…Il le faut….J’ai besoin d’expier…. ».
Sans comprendre comment ni pourquoi, il s’entendit prononcer ces mots dans un murmure…
« -Sortez….sortez et …tournez à droite….au fond du jardin….entrez dans le presbytère…la porte est toujours ouverte…. ».

Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

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