Répondre à : Une rentrée difficile

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#30255
anatole
Participant


Elle remonta sa jupe sur le haut de ses cuisses, dévoilant tout juste le bas de sa culotte sur les côtés, gardant ses jambes le plus serré possible. Cette situation était intolérable intellectuellement, mais elle ne pouvait lutter contre les réactions intimes de son corps et sentait bien une humidité honteuse se fourvoyer entre les lèvres de son sexe . Elle repensa sans le vouloir hélas à un de ses anciens amants qui avait trouvé du plaisir, et lui en avait donné d’ailleurs, à la fesser un soir de beuverie, sur le capot de sa voiture en sortie de boîte, avant de la faire jouir….Non, elle tenta d’effacer ce souvenir aussi humiliant que jouissif en relevant la tête et fixant le tableau sur lequel elle avait déjà inscrit la date du lendemain.
Elle reçut un vigoureux coup de pied dans les chevilles…
« -Ecarte tes jambes et prépare toi à ta punition. ».
N’ayant pas assez remonté sa jupe à son goût, ce qui était normal étant donné ce qu’il avait l’intention de faire, ni écarté suffisamment le jambes c’est lui qui d’une double manœuvre obtint ce qu’il désirait. D’un forte poussée du pied, il écarta les chevilles de la fille suffisamment pour son envie, alors que d’une poigne ferme, il attrapa le bas de la jupe la remontant sur le bas des reins dans un craquement sinistre qui signifiait un déchirement intempestif….il s’en excusa…
« -Désolé ma biche, mais fallait obéir… ».
Suivi des premières claques abattues sérieusement sur la petite culotte qu’il voyait enfin….Oh une petite culotte bien sage d’institutrice qui n’avait pas prévu de se revêtir de dessous de folie avant de venir effectuer son taf ce matin….Une petite culotte qu’il caressa doucement après l’avoir frappée une dizaine de fois, immobilisant les jambes écartées de ses deux pieds bien campés au sol.
Les reins de l’instit se creusèrent à chaque claque infligée, et elle agrippa de ses deux mains serrées l’arête du bureau sur lequel elle subissait sa sanction. Pour le moment, elle se pinçait les lèvres pour tenter de n’émettre aucun son… Elle pensait encore, histoire de ne pas trop faire monter son excitation, au jeune garçon qui attendait au bout du couloir….Des images passaient à toute vitesse dans sa tête…elle voulait les renvoyer dans son inconscient, mais ce n’était pas possible….
Les grosses mains qui venaient de débuter sa fessée punitive caressaient doucement le tissu de coton de sa culotte et elle ne pouvait s’empêcher de trouver çà ravissant…Bien contre son gré, elle creusait encore plus les reins sous cette caresse pas encore audacieuse.
Il lança un index tendu un peu plus bas, suivant lentement le sillon fessier en appuyant doucement sur le doux tissu, imprimant une poussée un peu plus forte dès qu’il eût atteint les premières moiteurs, insistant nettement dans un léger mouvement de va et vient.
Elle le savait bien…qu’il allait s’en apercevoir…Elle ne pouvait nullement lutter contre les réactions primales de son corps, mais sa tête lui intimait de serrer les cuisses en refermant ses jambes, ce dont il l’empêcha, appuyant encore plus ses pieds contre ses chevilles. Tout en continuant de masser lentement son sexe fort humide de son index, il empoigna ses cheveux de son autre main, la ployant en deux, l’obligeant à quitter l’arête du bureau.
« -Je savais bien qu’une garce comme toi allait aimer çà….Tu mouilles….comme une chienne….je vais te donner ce que tu attends…ce que tu mérites…. ! ».
Elle aurait voulu répondre que ..non….ce n’était ce qu’il croyait…;qu’elle détestait çà…
Elle n’eut pas le temps de mettre une phrase dans sa bouche….seuls quelques cris en sortirent car il venait d’abandonner l’humidité de la petite culotte pour recommencer à la frapper, et cette fois bien plus durement….Sa main s’appliquait sans laisser une seule seconde de répit sur l’une et l’autre des fesses encore masquées par la culotte, et les claques s’accumulaient, lui faisant vraiment mal maintenant. Mais elle ne pouvait nier que cette douleur crue qui striait son cul inondait aussi d’une immense chaleur son corps, parcourant une courbe étrange, depuis ses fesses meurtries, remontant le long de sa colonne vertébrale pour repasser vers son ventre, et redescendre dans un endroit dont elle se refusait à analyser les réactions…de toute façon, elle n’en avait pas le temps. Elle luttait en vain, essayant en se contorsionnant d’échapper à la fessée vengeresse d’une part, et tentant d’autre part d’une main maladroite d’enlever celle qui tirait sa tignasse en arrière….Parmi toutes ces sensations multiples, elle sentait la pointe de ses seins se tendre….Ses mouvements désordonnés faisaient par instant redescendre sa jupe de quelques centimètres, et il ne cessait la trempe qu’il lui infligeait qu’une poignée de secondes pour la remonter sur ses reins creusés.
Ce fut bref, mais ces deux minutes de punition intense lui parurent une éternité. Tous les deux à bout de souffle, pour des raisons différentes, elle eût droit à un moment de répit. Lui avait les mains en feu, et elle c’était son cul qui la brûlait. Il arrêta de frapper ses miches, relâchant par la même ses cheveux et l’emprise de ses jambes sur les siennes. Elle s’affala à plat ventre sur le bureau et lui se recula de deux pas. Elle n’avait même pas le réflexe de refermer ses cuisses, laissant à l’homme qui venait de la punir la vision de ses jambe tremblantes, de sa petite culotte totalement trempée au milieu, et de la rougeur de sa peau nue juste dessus et dessous….Elle sentait la tension de ses seins bien plus qu’émus contre la dureté du bureau, tout juste masqués par son chemisier et son soutien gorge. Elle eut tout de même le réflexe de stopper les mouvements de son bassin qui amenaient son sexe contre le coin du bureau….Cela lui fit reprendre un peu ses esprits…Son cul était bouillant, mais c’était….bon….Les secondes qui passaient lui faisaient croire que c’était fini. Elle appuya ses poignets et se redressa difficilement, réussissant à se tourner vers son agresseur…
Il se toisèrent un instant…Elle avait les joues autant en feu que ses fesses. Dans un geste typiquement féminin, elle tentait de remettre un peu d’ordre dans sa tenue, essayant de redescendre sa jupe sur ses cuisses. Il la regarda faire puis…
« -Non ! ».
L’ordre était clair, ferme….
« -Pardon ?
-Non….Tu ne redescends pas ta jupe….au contraire…je n’ai pas fini…Tu vas la poser…. ».
La voix de l’homme avait baissé d’un cran, mais la manière de prononcer ces mots était encore plus inéluctable.
Elle hésita une seconde, jetant un regard furtif vers la porte….mais…
« -Non….vraiment pas….je n’ai pas fini de te faire payer….on va continuer…. ! ».
Pouvait elle encore réfléchir ? D’un geste purement automatique, sans chercher à comprendre pourquoi, elle obéit, dégrafant la fermeture éclair et la faisant glisser lentement le long de ses cuisses, pliant ses jambes une à une pour l’ôter définitivement. Elle remarqua au passage la large déchirure qu’il avait occasionnée un peu plus tôt, tâtant nerveusement le tissu effiloché du bout des doigts.
« -Bien….pose la sur le bureau maintenant. Voilà, c’est bien…maintenant tourne toi et enlève moi cette culotte toute mouillée…. ».
Elle ne pouvait pas ne pas avoir remarqué la volumineuse boursouflure qui tendait la braguette du pantalon…Une seconde, elle revit dans sa tête le sexe tout jeune, si mince mais si tendu du gamin qui s’était pignolé sous sa table le matin même….De nouveau, totalement contre son gré, une onde de chaleur s’éleva de son sexe pour inonder jusqu’à son cerveau….Allait il la baiser ? Après tout….
Comme dans un rêve, pas vraiment un cauchemar en fait, elle obéit à son ordre, se retournant, offrant à la vue de l’homme ses lentes contorsions pour faire glisser sa petite culotte comme il l’avait demandé…et oui, elle la trouva bien plus qu’humide…Au passage, elle ressentit contre ses doigts la chaleur de son cul martyrisé. En fait, ses mains avaient été brutales, mais peut être que son sexe….Elle avait quitté son amant depuis quinze jours pour venir s’installer ici, et le sexe d’un homme commençait à lui manquer furieusement….
« -Remonte ton chemisier que je vois ton cul…. ».
De nouveau elle s’était collée contre son bureau, et fit ce qu’il lui demandait…Elle offrait son cul nu et encore bouillant…Allait il la prendre comme çà, dans cette position ? Elle attendit son bon vouloir. Mais, l’ordre qu’il lui lança n’était pas celui qu’elle commençait à espérer….
« -On va faire leçon de calcul maintenant….Tends ton bras droit sur le bureau et attrape cette belle règle de bois qui est dessus….et viens ici maintenant…. ».
Elle sut que la punition n’était pas achevée….Elle tenta ….
« -Mais, c’est bon là….vous m’avez punie…c’est assez comme çà…..
-Ne discutes pas…Viens là tout de suite ! ».
La voix était dure, forte, claquante…elle s’empara de la règle, se redressa, se retourna et fit les trois pas qui la séparait de lui….
« -Où est la table d’Anatole ? ».
Elle hésita une seconde, puis la désigna du doigt.
« -Va te coucher dessus…et dépêche toi…ne m’énerve pas plus que je ne le suis…. ! ».
Elle lui jeta un petit regard de biche suppliante, mais, elle s’avança lentement dans la travée de sa classe, cul nu, la règle en bois à la main, gagnant la place de ce garnement. Elle lança un dernier regard vers lui. Il la regardait faire sans bouger, cette fois l’oeil vraiment mauvais. Alors elle se pencha sur la petite table en bois, posant son ventre et ses seins sur le bois dur, et attendait, la règle serrée dans sa main tremblante. Elle l’entendit enfin s’approcher.
« -Donne moi la règle ».
Elle courba son bras en arrière, lui tendant l’objet de sa nouvelle punition à venir, luttant juste un instant avant qu’il ne s’en empare.
« -Mets tes deux mains sur ta tête, et écarte tes pieds…Ouvre tes jambes…mieux que çà.. ! ».
Le dernier ordre avait été crié, et accompagné d’un coup de règle sur la table, juste à côté de son visage….
Elle écarta ses pieds du mieux qu’elle le pouvait. Son cœur battait la chamade, et l’envie de sexe qu’elle avait éprouvée un petit moment plus tôt s’était envolée….
« -Maintenant, tu vas compter…. ».
Elle osa demander, un lourd sanglot dans la voix.
« -Combien ? ».
Elle n’eut pour seule réponse qu’un premier coup de règle en travers de ses deux fesses déjà bien douloureuses. La brûlure qui stria son cul lui arracha un cri. En pur réflexe, ses jambes se plièrent et ses mains abandonnèrent sa tête pour venir frotter vigoureusement ses fesses…
Un nouveau coup de règle s’abattit sur ses doigts qui massaient sa peau.
« -Enlève tes mains, reprends la position, et vite…. ! ».
Cette fois, elle sentit les larmes couler sur ses joues…Et obéit…avait elle le choix ?
Elle sentit la règle se poser doucement contre la raie de ses fesses et descendre lentement jusqu’à frôler son sexe. Il la fit bouger par tous petits coups, s’infiltrant entre les lèvres encore humides de son intimité, frottant vigoureusement. Elle se tordit surprise par cette caresse désagréable. Sa main empoigna de nouveau sa chevelure, étirant son cou en arrière et il vit poser la règle mouillée contre ses lèvres.
« -Lèche….allez vas y…. ! »
Sa langue parcourut quelques centimètres sur le bois humide et odorant.
Satisfait il relâcha d’un coup ses cheveux et balança une nouvelle cinglée sur son cul….
« -Alors ? Tu vas te décider à compter ?
-Euh, ça fait trois….
-Tu te fiches de moi ? On repart à zéro, et plus fort…. ! »
Sur le grand coup qu’il venait de balancer sur sa fesse droite, elle cria, se recroquevilla et réussit à prononcer péniblement un…un….
Il la frappa longuement ainsi, jouissant des striures de plus en plus violacées qu’il imprimait à son cul, de ses plaintes et contorsions, de ses jambes qu’il était à chaque fois obligé de remettre en place en l’insultant, de l’humiliation qu’il savait qu’elle ressentait à se faire punir ainsi sur la table d’école de son fils, des sanglots qu’elle ne pouvait plus réprimer, des larmes inondant ses joues.
Lorsqu’il se mit vraiment en colère, alors qu’elle n’arrivait plus à suivre le rythme de ses frappes et à énoncer les chiffres qui étaient devenus des nombres, elle s’affala au sol, pour subir les derniers assauts de la règle….
Il s’arrêta enfin….épuisée de fatigue et de douleur, elle massa ses fesses brûlantes d’une main, l’autre cachant son visage et ses sanglots…Elle entendait à peine la porte de sa classe claquer…
Elle mit un temps fou à récupérer sa respiration, et à peu près ses esprits….se levant difficilement….arpentant la travée entre les tables de ses élèves, et s’avançant jusqu’au bureau.
Elle n’osa pas s’assoir, tellement son cul était en feu, se rhabilla comme elle pouvait malgré sa jupe déchirée.
Le trajet jusqu’à chez elle lui parut une éternité, tortillant ses fesses malgré la douceur du siège de sa petite voiture….enfin, elle put se dévêtir totalement, et contempler le résultat de cette paire de gifle infligée à ce sale gosse, regardant son cul encore cramoisi dans le miroir de sa salle de bain. Elle n’eut pas le courage d’une douche et s’affala sur son lit….Sans même y réfléchir, sa main droite s’infiltra entre ses cuisses, et un doigt s’enfonça dans son sexe….ce qu’elle avait subi était insensé, intolérable, humiliant, scandaleux, mais…..son plaisir vint bien trop vite….

Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

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