Répondre à : Fait divers
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Elle ne savait plus vraiment depuis combien de temps elle était là, allongée nue le dos et les fesses dans l’herbe, les mains liées par les grosses cordes qui descendaient des deux arbres.
Il faisait chaud en ce début d’après midi, mais quelques courants d’air effleuraient la pointe de ses seins tendus et le haut de ses cuisses.
De temps en temps, il passait près d’elle, s’agenouillant à ses côtés et caressait un de ses seins ou le haut d’une cuisse, hasardant parfois un doigt vers son sexe, ou tripotant doucement un mamelon. Il lui murmurait des mots à voix basse, qu’elle ne comprenait pas vraiment.
Il avait insisté pour qu’elle finisse le champagne et elle se sentait un peu pompette lorsqu’il se leva et vint replacer lui même le bandeau de soie noire sur ses yeux. Il l’aida à se lever et la guida doucement vers le lieu de sa future punition, au pied des deux grands arbres d’où pendaient les cordes. Elle faillit trébucher plus d’une fois malgré le court trajet, mais il la driva finalement sans casse jusqu’à l’endroit choisi, lui demandant de s’allonger sur le dos. La fraîcheur de l’herbe lui fit du bien, et elle aima le contact soyeux sur ses fesses nues. Elle avait oublié ses maudites basket, et se laissa faire lorsqu’il étendit ses bras au dessus de sa tête et noua l’une après l’autre les cordes autour de ses poignets, sans serrer le moins du monde.
Elle dérivait dans une douce langueur alcoolique, mêlée de désir et d’idées folles. Tout au plus se rendait elle compte par instant qu’elle était nue allongée dans l’herbe, les mains entravées, livrée prochainement à n’en pas douter à quelques tourments….Au fond, elle adorait cette sensation…c’était là sa véritable ivresse. Et elle frissonnait à chaque contact que daignait lui octroyer son futur tourmenteur.
Comme à chacune de leurs rencontres précédentes, pendant tout le petit repas, il n’avait nullement été question de jeu pervers. Tout au plus la situation était elle un peu plus incongrue qu’avant, elle totalement nue assise et dégustant les petits canapés, devant lui, habillé et qui la regardait de façon très explicite, tout en parlant de la pluie et du beau temps, de ce domaine dont il était fier de l’en faire profiter, et de la qualité du champagne. Juste, il évoqua ce qu’il savait de sa rupture précédente, la trouvant navrante, mais s’arrêtant avant de lui confier qu’il était vachement content de pouvoir en profiter ! Avant que l’alcool ne lui tourne trop la tête, elle remarqua tout de même la différence de ton qu’il savait apporter à ses phrases, entre le vilain Monsieur qui l’avait sommée de se mettre nue devant lui quelques minutes plus tôt et le charmant ami qui discutait comme si de rien n’était, devant la fille nue qu’il convoitait.
Elle ne savait donc plus trop combien de temps s’était écoulé depuie qu’elle était allongée nue dans l’herbe, n’étant pour le moment soumise qu’à quelques caresses furtives.
Elle entendit le bruit d’un bouchon de champagne qui saute et n’eut que quelques secondes à patienter avant que le liquide ne vienne inonder ses seins…C’était frais et étrange comme sensation, avec ces bulles qui frétillaient sur sa peau, mais elle sentit très vite les lèvres de son hôte venir lécher la peau imbibée de champagne et sucer les mamelons jusqu’à la dernière goutte. Elle s’était tendue dans les cordes lorsqu’il l’avait aspergée ainsi mais ouvrit franchement les cuisses dans les secondes ultérieures, râlant de plaisir à cette caresse improvisée. Quelques gouttes dégoulinèrent sur son pubis avant de s’infiltrer entre ses cuisses longeant les lèvres de son sexe…C’était délicieusement affreux, et la langue qui vit laper ce liquide mêlé à ce qui suintait de son sexe trouva ce mélange fort agréable. Elle se tendit, écartant ses cuisses au mieux qu’elle pouvait, se laissant aller à cette presque jouissance, mais….Il se redressa et vint se placer debout à sa tête.
« -Allez, il est temps que je te donne ce que tu es venue chercher…. ».
Doucement, il la saisit par les hanches et l’aida à se remettre debout. Sa tête tournait un peu moins qu’avant et elle réussit à tenir l’équilibre. Elle était encore dans l’onctuosité des lèvres qui venaient de la laper si langoureusement.Elle sentit une tension sur ses poignets alors qu’il étirait lentement les corde enroulées autour des grosses branches, l’une après l’autre. Elle se retrouva debout, nue (sauf ses basket!) les bras en l’air.
Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser