Répondre à : Phase deux

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#27121
anatole
Participant


Après avoir voilé ses yeux, il laissa lentement glisser ses mains le long du corps de la jeune fille qu’il allait encore martyriser. Descendant des épaules il engloba doucement les seins sur lesquels persitaient les rougeurs laissées par les quelques coups de martinet infligés. Il les malaxa doucement, agaçant gentiment les mamelons, déclenchant un long soupir. Elle était encore prête accepter quelques suaves sensations….Il caressa ensuite son ventre, chatouillant le nombril puis empauma les deux hanches, plaquant ce corps nu contre le sien. Sa bite raide et engoncée dans son pantalon se colla au pubis rasé, se frottant quelques instants, mais cependant sans réussir à lui faire entrouvrir les cuisses. Le contact n’était pas désagréable, mais elle lui en voulait encore de l’avoir forcée avec le tissu qui recouvrait maintenant son visage. Elle avait encore une certaine fierté malgré sa position !
Ses mains glissèrent en arrière et s’emparèrent de son cul, massant les deux fesses qu’il allait très bientôt fouetter. Puis ses ongles griffèrent gentiment l’arrière de ses cuisses, y laissant quelques traces rosées, qu’il se promettait de majorer nettement dans les minutes à venir, avant qu’il ne la repousse.
Il se recula de deux pas et la regarda longuement. Il commençait à être fasciné par ce corps nu qu’il avait attaché bras en l’air depuis un si long moment, et qu’il avait déjà bien puni. Il aurait presque eu un instant de pitié, et envie de la délier et de la câliner, mais il ne pouvait oublier que quelques instants plus tôt, elle l’avait traité de fumier et l’avait encore une fois tutoyé. Il se devait de garder son statut de maître punisseur intransigeant, et que sa réputation continue de faire frissonner les jeunes étudiantes.
Il était assez fier de la composition artistique faite par ce corps presque nu et entravé, avec ces quelques lambeaux de tissu accrochés par la corde qu’il avait fortement serrée autour de sa taille, et qui bavaient sur le milieu de son ventre. Il pensa à la vidéo qui s’enregistrait depuis le début de la punition, et dont il pourrait tirer quelques jolis arrêts sur image.
Il s’abaissa pour reprendre son long et vilain martinet en main, et le fit claquer deux fois au sol. Elle frissonna.
« -Dommage que tu sois aussi écervelée, ma jolie caille, et que tu aies été aussi peu polie avec moi. Nous aurions pu en rester là….mais tant pis pour toi…je dois t’apprendre le respect….et je vais te fouetter encore….puisque et comme tu le mérites. J’espère que ça te servira de leçon ».
Il ponctua cette longue tirade par deux nouveaux coups plaqués au sol de part et d’autre du corps de la pauvrette.
Elle tenta de se ressaisir. Les douleurs qu’il lui avait infligées précédemment s’étaient estompées, mais ses épaules étaient enraidies par la contrainte qu’elles subissaient depuis longtemps et la faisaient souffrir. Elle se redressa un peu, réussissant à plier un peu les coudes pour soulager ses pauvres articulations. Elle se sentait humiliée par ce T-shirt odorant et humide qu’il avait placé sur son visage, et inquiète par l’obscurité, ne sachant d’où allaient venir les coups pour tenter de les parer. Mais elle se concentra sur deux choses…l’obtention de sa thèse, enfin, qu’elle n’aurait pas volée….et tenter de rester digne, juste pour l’impressionner….et puis aussi un tout petit peu…par l’envie de savoir jusqu’où elle, elle accepterait….et prendrait un plaisir aussi certain que malsain à ce jeu éminemment pervers auquel elle avait accepté de se livrer. Connaître pour la première fois peut être le seuil de la douleur qu’elle pouvait encaisser.
Alors, lorsqu’il lui demanda si elle se sentait prête à être fouettée comme une esclave, elle ressentit une nouvelle humiliation à l’usage de ce mot, mais répondit par un « Oui » qu’elle tenta d’exprimer clairement, voulant montrer sa détermination.
Il avait volontairement laissé sa bouche libre de toute entrave, si ce n’était le bout de tissu qui flottait devant, afin de pouvoir l’entendre geindre, puis crier, sangloter, et enfin peut être le supplier.
Les quelques coups qu’il lui avait donnés déjà avec ce martinet avaient été fermes, mais pas si violent que çà…enfin de ce dont il était capable. Il allait maintenant lui montrer ce qu’était une vraie punition.
Son bras s’arma, se levant en l’air et il abattit la longue lanière de cuir quatre fois de suite, en aller retour, en travers de son cul, ne lui laissant pas une seconde de répit.
Elle faillit s’étouffer, tant la douleur était imprévue, intense, mordante. Son corps se tordit en vrille, ses genoux se plièrent et elle oscilla plusieurs secondes dans la corde, sa gorge laissant échapper un long cri. Puis quelques larmes perlèrent à ses yeux, coulant lentement le long de ses joues. Les secondes passèrent et elle réussit à reprendre son souffle. Sans y réfléchir, elle murmura un « Non » à peine audible.
Il avait frappé de toutes ses forces, juste pour lui faire entrevoir ce dont il était capable. Il allait le lui expliquer. Tirant de nouveau sa tête en arrière par les cheveux il lui dit le plus doucement du monde :
« -J’ai frappé comme un malade, je sais…c’était exprès….pour que tu saches….Je vais continuer à te fouetter, mais je vais être moins méchant….il faut que tu apprennes et que tu résistes….tu es d’accord ? ».
Elle fut sidérée de sentir des lèvres chaudes et douces se poser sur sa nuque pour un petit baiser.
« -Ouii…alllez y…si vous voulez….mais moins fort….j’ai eu trop mal… et ».
Elle ne finit pas sa phrase car il venait de lâcher son crâne et de cingler deux fois le bas de ses reins. Certes, les coups étaient moins violemment portés mais la zone atteinte bien plus sensible.
Il reprit sa fouettée, entrecoupant ses frappes de quelques secondes de latence à chaque fois, pour lui laisser profiter de la brûlure s’infiltrant dans les chairs qu’il cinglait. Il saupoudra progressivement son corps de trainées roses qui rougissaient en quelques instants, fouettant gentiment ses cuisses, devant et dérrière, son cul, ses reins et son ventre. Il se préservait les seins et le sexe pour la touche finale….Il la laissa reprendre son souffle et ses esprits quelques minutes, histoire aussi de laisser son bras se reposer un peu, de profiter du joli tableau de ce corps zebré et de parcourir du bout des doigts les traces infligées.
Epuisée par ce châtiment, le stress et la fatigue, son corps sétait alangui, s’affalant dans la corde qui la suspendait au plafond, étirant encore plus ses épaules. Les larmes dégoulinaient le long de ses joues, mais elle s’était plusieurs mordu les lèvres pour ne pas crier. Juste laisser échapper quelques râles.
Au fond d’elle même, pensant la sanction achevée, une once de fierté pointait. Une panique l’envahit cependant.
« -Allez, on va reprendre…promis, ce sera la fin de ta correction….. ! »
Non, cette fois elle n’en pouvait plus…elle avait éventuellement envie de douceur, d’un câlin, mais pas qu’on la frappe encore….Dans un sursaut d’intelligence, motivé en fait par la réalité, elle tenta une porte de sortie.
« -Non, s’il vous plait, j’en peux plus, et puis….détachez moi…il faut que j’aille aux toilettes…. ! ».
Cela faisait bientôt deux heures que sa punition était engagée, et réellement, elle sentait sa vessie la tirailler….Certes, elle pouvait encore tenir un long moment, mais…elle aurait peut être mieux fait….
« -Je comprends ma pauvre…on va arranger çà…. ».
Elle entendit le bruit du martinet jeté au sol. Elle escomptait une libération de ses pauvres poignets endoloris, mais rien de ce genre ne se passa.
Il s’éloigna vers son armoire et revint vers elle. Elle ne pouvait voir ce qu’il était parti chercher….un grand et large vase de verre qui lui servait parfois à mettre des fleurs sur son bureau….
« -Voilà ma grande…j’ai un grand vase dans les mains….tu n’as qu’à écarter les cuisses, je vais le glisser en dessous et tu vas pouvoir pisser tranquillement….. ! Et après on termine… ».

Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

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