Répondre à : Phase deux
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Jamais auparavant on n’avait fouetté ses seins…Elle se cambra en arrière sous cette sensation intense qu’elle n’avait jamais ressentie. Il laissa passer le temps qu’il fallait pour que le coup qu’il venait de porter sur sa poitrine laisse un jolie trace rosâtre qui se diffusa lentement, tout comme la douleur qui se transformait petit à petit en chaleur douceureuse. Elle soupira longuement à travers le baîllon improvisé par sa culotte, avalant comme elle le pouvait sa salive mêlée des liqueurs de son sexe qui l ‘avait empreignée.
Il s’approcha d ‘elle, se collant contre son dos nu et passa délicatement un doigt sur son sein, suivant lentement la trace que son martinet venait de laisser, puis passa sur l’autre sein aussi joliment meurtri. Sous cette douce caresse, elle bascula par réflexe sa tête en arrière, la posant contre son épaule.
Il murmura contre sa nuque.
« -Tu vois ma douce, comme la douleur peut être changeante….je vais continuer à t’apprendre… ».
Ses doigts, comme réponse à ce qu’il venait de dire, se crispèrent sur un mamelon qu’il serra fortement, l’étirant vers l’avant. Son ventre plaqué contre le dos de la jeune fille ressentit les tressautements de son cul qui se tendait, le corps qu’il martyrisait ainsi se propulsant et se contorsionnant sous cette douleur subite.
Il en profita pour cingler bien plus méchamment de nouveau cette poitrine qui s’offrait à sa sanction, fouettant à cette occasion ses doigts qui torturaient le mamelon, mais ce n’était pas bien douloureux pour lui…bien plus pour la pauvre fille !
Il jeta son petit martinet au sol, et ses deux mains s’emparèrent de ces si beaux seins, les pétrissant lentement. La succession de ces sensations douloureuses puis presque tendres était une découverte pour elle, et de nouveau elle abandonna l’arrière de son crâne contre l’épaule de son tourmenteur râlant doucement.
Calmement, ses deux mains lâchèrent ces proies si voluptueuses et glissèrent le long du corps de la jeune femme, s’attardant quelques secondes sur ses hanches puis empoignant bien plus fermement les fesses qu’il avait déjà longuement punies auparavant, les massant vigoureusement.
A voix basse, il lui expliqua la suite du programme, tout en lorgnant sur ce cul qu’il avait déjà sanctionné mais dont la rougeur disparaissait avec les minutes qui passaient.
« -Maintenant, ma belle, je vais vraiment te fouetter. »
Laissant une main sur une fesse il se plia, laissant glisser son autre main tout le long de la jambe pour aller récupérer le second martinet, aux lanières de cuir noir bien plus longues et bien plus douloureuses que le précédent, qui n’était qu’une petite entrée en matière….
Elle se sentie encore plus nue et à sa merci, lorsque le contact physique eut disparu. Mais pourquoi donc était elle là ? Pourquoi donc s’était elle laissée entraîner dans ce jeu pervers ? Et surtout pourquoi n ‘avait elle même pas envie de crier pour dire stop, ? Envie de savoir ? De connaître ? De s’abandonner à ce châtiment dont elle savait très bien qu’elle l’avait souhaité ?
Pendant que ces idées troubles se diffusaient dans le cerveau de son étudiante, lui pensait à autre chose.
En quelques secondes, il se remémorait le jour de la rentrée universitaire, il y a quelques mois. Comme tous les ans, il reluquait les nouvelles étudiantes, et il savait très bien que dès les premières secondes où il l’avait aperçue, avec son joli petit cul serré dans son jean, tentant de se frayer un passage pour s’installer au premier rang de l’amphi, il s’était dit qu’il allait se la faire…se la goinfrer…que quoiqu’il arrive dans cette année d’étude, il trouverait bien une solution pour…Certes, d’autres jolies filles étaient présentes, certaines dont il avait déjà eu l’occasion de tâter le cul précédemment, d’autres pour lesquelles, malgré ses pièges tendus, il n’avait pas pu avoir l’occasion de les voir se dénuder devant lui dans son bureau, mais celle là, il l’avait repérée dès le pemier jour. Et il avait eu l’intuition qu’elle ne lui échapperait pas…et là, à cet instant, elle était preque nue devant lui, attachée les bras en l’air. Il l’avait déjà gentiment punie, une première fois, et puis là depuis un long moment, il était maintenant question de lui fournir un vrai châtiment dont elle se souviendrait toute sa vie….Certes, c’était probablement la plus jolie fille qui s’était « présentée » dans son bureau depuis bien des années, et il en éprouvait un certain sentiment de…malgré tout, pas question de se laisser envahir par quelque mansuétude que ce soit alors qu’il tenait fermement en main le manche du méchant martinet avec lequel il allait la frapper. Après tout, elle avait failli à ses obligations de travail, et il n’oublia pas qu’il devait la punir pour ses manquements.
Il attrapa d’une main ferme la ceinture qu’il avait serrée sur sa taille, l’attirant vers lui et cingla de toutes ses forces le bas des reins de sa pénitente du jour. Les longues lanières de cuir s’enroulèrent autour des hanches, y déposant une trace qui rougit progressivement dans les secondes suivantes, alors qu’elle laissait s’échapper de sa gorge obturée un long râle. Elle ne s’était pas préparée à cette douleur intense. Il lâcha la ceinture, laissant le corps qu’il venait de fouetter s’alanguir dans les liens, attendant quelques instants avant de frapper de nouveau, sur le haut et le devant des cuisses….Elle se tordit dans la corde qui entravait ses poignets…pas le temps ni la possibilité de se poser encore la question fatale…mais pourquoi avait elle accepér de se prêter à ce châtiment. La douleur était trop intense.
Malgré tout, elle entendit la question qu’il lui posa :
« -Alors, pourquoi n’as tu pas fait ce que je te proposais pour finir ton travail correctemment ? ».
Le temps qu’elle reprenne ses esprits, et qu’elle accepte la douleur qui se diffusait le long de ses cuisses, elle finit en quelques secondes par entériner la question….
Hélas, ce temps de latence fut fatal à ses fesses qui se virent fouettées de nouveau avant qu’elle ne puisse tenter une réponse. La douleur stria son cul, alors qu’il regarda intensément la longue traînée rouge qui s’installa progressivement sur sa peau….Elle plia les genoux, se tordant en vrille sous la nouvelle cinglée….
Il laissa un grand moment passer. Il fallait qu’elle comprenne…qu’il n’aurait pas de pitié…
Elle esquissa quelques syllabes dans son baîllon, qui furent incompréhensibles à son tortionnaire…Déjà, depuis quelques minutes sa salive dégoulinait sur son menton , détrempant encore plus sa pauvre petite culotte.
« -Je ne comprends rien à ce que tu me dis… ».
Il jouissait de ce moment, et fit ce qu’il avait déjà prévu….D’un geste ferme, il tourna les cordes posées sur le cou de la malheureuse, qui tenaient la culotte dans sa bouche, l’empêchant de proférer le moindre mot audible.
« _-Bon, puisque tu ne veux pas me répondre, je vais te fouetter de nouveau.. ».
Il se régala queqlues secondes de son regard éperdu…
Sans plus attendre, il asséna quatre coups de martinet bien sentis et surtout ressentis. Le premier sur son cul, le second sur le haut de ses cuisses, le trosiième sur le bas des reins et le dernier sur son ventre . Il tenait fermement la ceinture dans sa main, l’empêchant de se soustraire à ses frappes….puis lâcha sa proie se délectant de son corps se recoquevillant dans les liens….
« -Puisque tu ne veux pas répondre, je vais fouetter tes seins maintenant… ».
Il posa une main sur son sein gauche le tenant fermement…Il allait la fouetter de nouveau sur ces zones si sensibles.
Elle vit sa main s’approcher de son visage…elle eut peur un instant qu’il ne la gifle, mais contre toute attente, il délivra sa bouche du baîllon…..et reposa la question.
« -Pourquoi n’as tu pas fait ce que je te demandais pour finir ton travail ? » .
Enfin libérée du baîllon qui entravait sa bouche, elle avala lentement sa salive, ne pouvant répondre.
Il cingla très doucement ses seins, juste pour lui faire comprendre à quoi elle risquait d’être promise si elle ne répondait pas correctement.
Il reposa la question, mais sous une autre forme.
« -Alors, tu savais que tu serais punie si tu ne faisais pas ce que je te demandais ?
-Ouiiii….
-Et c’est pour çà que…
-Ouiiiii… ».
En fait elle n ‘avait plus la tête suffisamment lucide pour répondre à la question…juste faire semblant de répondre et échapper au châtiment ultérieur.
Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser