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#26150
Anonyme
Inactif


Voici d’ailleurs le dernier récit avant que chacun ne reparte de son coté avec de beaux souvenir et des étoiles plein les yeux.

Le Pont du Diable……Anz…. Gorges de la Creu ….. 46,26619° de latitude Nord et 1,86326° de longitude Est…. 28 juillet…. 19h. Un endroit maudit, oublié des hommes, oublié de Dieu. La légende locale affirme encore que c’est ici, sur ses terres brulées que Guy D’Aynac haut dignitaire de l’Ordre du Temple et Pierre de Sivrey, Grand Sénéchal auraient été exécutés au lendemain du 13 octobre 1307 à la demande de Philippe IV le Bel. Aujourd’hui encore, les rumeurs les plus folles circulent bon train sur ce site abandonné où flotte toujours selon les autochtones des miasmes maléfiques et où la boussole s’affole sans raison comme possédée par des forces occultes. C’est dans ce lieu chargé en histoire tragique qu’elle devait me rejoindre.
19h05 la voila qui arrive. Cinq minutes de retard…elle ne le sait pas encore mais elle me le paiera très bientôt. Est-ce mon imagination qui me joue des tours ? Est-ce la majesté du lieu qui agit sur moi comme sur tous ces gogos, mais elle semble avoir changée. Elle semble beaucoup plus jeune, beaucoup plus chienne. Elle rentre timidement dans ma voiture et me salue avec son sourire irrésistible bourré de charme. Elle attend de moi une conversation, j’attends d’elle des silences. J’ai droit une fois de plus à sa vie, ses petits malheurs d’avocate, et bien d’autres banalités. Je reste peu loquace. A un moment, certainement judicieusement calculé de sa part, elle me glisse à l’oreille que l’amant est mis au rayon des souvenirs. J’en suis ravie pour elle. Elle s’étonne de mon manque d’intérêts je l’informe de mon statut.
Je lui demande alors de me sucer sans préavis.
Un instant surprise et déstabilisée elle s’exécute sans rechigner. Elle fait coulisser sa bouche le long de ma hampe brulante et turgescente. Je plaque ma main derrière sa nuque pour la forcer à m’emboucher complètement. Je sais qu’elle n’aime pas vraiment ça. Je joue avec elle pour tester ses limites, évaluer ses résistances.
-Appliquez vous un peu ! Désormais, à chacune de nos rencontres, vous devrez me saluer de la sorte.
-Oui Monsieur !
Elle acquiesce et se concentre à nouveau sur sa tache.
Je suis tellement fier d’elle. Que de chemin parcouru depuis notre première rencontre ! Que de progrès et d’efforts fournis ces dernières semaines.
Elle semble avoir pris son rythme elle suce désormais avec délectation et application s’attardant sur le méat en traçant des cercles concentriques autour du gland. Je la repousse doucement la sens frustrée et lui demande de sortir du véhicule.
-Appuyez vous sur le capot de la voiture bras et jambes légèrement écartés.
Elle obtempère. Je passe derrière elle et l’observe sans un mot. Ne pas pouvoir jauger mon regard est pour elle une torture ne pas pouvoir entendre ma voix un supplice. Première claque sur les fesses cinglante sans douceur.
-Les fesses plus cambrées ! le cul arrogant offert. Elle rectifie immédiatement sa position.
Elle porte un corset rouge magnifique très fin brodé très tendance à travers lequel dardent ses deux petits renflements érectiles comme des torpilles. Ses aréoles brunes sont elles maquillées ? Je vérifierais plus tard. Une jupette minimalise assortie : elle est sublime. Je me plaque contre elle, mets ma main en coupe entre ses cuisses. Elle ne porte pas de culotte comme prévu. J’inspecte sa chatte, glabre et douce puis son cul lisse également je présente un doigt à l’entrée et observe son regard… elle semble inquiète.
– J’ai un cadeau pour vous.
– Vraiment ? pourtant je ne le mérite pas. Cependant ses yeux trahissent ses paroles ils me regardent amoureusement curieux et plein de gratitude.
Je lui demande de fermer les yeux quelques instants et m’avance vers le coffre de la voiture. Je me poste ensuite derrière elle puis j’écarte délicatement sa crinière brune pour accrocher à son cou son collier. Un collier en métal tressé très large très froid relié à une petite laisse elle aussi métallique. Le collier se termine par un petit cadenas sur lequel trône un triangle symbole de la femme avec à l’intérieur un O signe géométrique parfait symbole SM par excellence.
A cet instant prévu… je la veux chienne. Je lui laisse quelques instant pour découvrir son nouveau jouet, pour l’apprivoiser se familiariser avec lui. Mon regard se durcit alors irrémédiablement presque malgré moi.
-A quatre pattes ! Elle ne bouge pas, elle semble ailleurs.
-A quatre pattes immédiatement : seconde claque sur les fesses plus forte.
Elle s’exécute. Sa jupe remonte sur ses reins dévoilant une croupe callipyge rebondie délicieusement fendue. Après quelques instants de surprise elle a réussi à prendre ses marques et commence d’elle-même à avancer pour percevoir les sensations. Elle est pile à hauteur de ma queue… résister…je dois absolument résister ne pas me laisser aller. Je l’emmène ainsi à l’écart dans un endroit ombragé vers une immense stèle en pierre brute. Avec un peu d’imagination on peut deviner en son centre une croix pattée presque complètement effacée par le temps, par les siècles et par les éléments. Je lui demande
– Que voyez-vous ? Un silence puis.
-On dirait une croix… une croix templière.
-Vous connaissez la légende des templiers ?
– Uniquement ce que tout le monde sait… le fameux trésor des templiers… je sais également que sur ordre de Philippe le Bel ils ont tous été arrêté au début du XIV siècle.
– A votre avis pourquoi ?
– Je crois savoir qu’ils ont été accusés à tort de Conspiration contre le roi, d’Hérésie et de Sodomie….Nouveau blanc. Elle me regarde, détourne la tête, me regarde à nouveau : elle vient de comprendre… je ne l’ai pas faite venir ici par hasard… pour parfaire sa culture historique… mon but était précis insidieux et sans appel.
– Savez-vous pourquoi vous êtes ici ?
-Oui je crois !
-Oui qui ?
-Oui monsieur
– Je vous écoute, je souhaite vous l’entendre dire. Elle hésite elle a peur vraisemblablement de me donner des idées au cas ou je n’aurais pas prévu le scénario qu’elle s’apprête à avancer. Je me délecte de son embarras… je la provoque. Elle bafouille et finit par susurrer
– Vous m’avez fait venir ici parce que vous allez me sodomiser
-Vous pouvez faire mieux que ça !, faites un effort ! Nouveau silence…
– Vous m’avez fait venir ici parce que vous allez m’enculer !
-Et pour quelle raison ?
Parce que je suis votre chienne…parce que je le mérite… parce que je suis une petite enculée.
Je m’avance alors vers elle et je la prends dans mes bras amoureusement avant de passer à la suite.
Désormais, si vous prononcer le moindre mot, ce sera uniquement celui-ci Stop. Si la douleur est trop violente Stop, si vous ne vous sentez pas bien Stop, aucun autre mot, le silence. Est-ce bien compris ?
– Oui.
– Répètez-le ?
– Si j’ai trop mal je dis stop, si je ne me sens pas bien, je dis stop, sinon, je dois me taire.
– Bien.
Leçon de maintiens.
– Mademoiselle, j’ai remarqué que vous ne teniez pas bien droit votre dos, ce qui rend disgracieux le rebondi de votre postérieur, ce qui manque de bien creuser vos reins. Tenez-vous droite !
Elle s’exécute sans difficulté.
– Creusez désormais vos reins !
Elle creuse ses reins, cul orgueilleux, offert.
J’attends le moment de faiblesse, dans une position si tendue, la pauvresse risque fort de ne pas tenir des lustres. Le moment de la reddition s’annonce, je la sens se tendre avec force, une lutte entre son corps et sa volonté, le corps à souvent des faiblesses. Le moment attendu arrive. Deux coups de fouet sec, précis, dans le creux des reins, elle retend à nouveau son corps. Les zébrures commencent à apparaître sur sa peau bronzée, de longues marques rouges. Son dos commence à fléchir, claquements sur ses épaules pour les 5 minutes de retard. Les stigmates s’affichent en traits le long de sa colonne. Elle est plus raide que jamais, droite comme un i, la croupe saillante. Belle.
– Repos.
Son corps imprime lentement l’ordre, ses reins moins creusés, bien plus que lors de son arrivée, le dos s’incline légèrement, bien moins que lors de la première pose. L’éducation, un art. Je la détache. Pause de suppliciée, cigarette, boissons. Silence.
– Debout !
– Oui.
Avec les lanières je la caresse doucement, j’examine les traces faites plutôt. Des volutes rougeoyantes, de longues et saillantes nervures. Je prends des pinces, poses celle-ci sur ces mamelons dardés. Elle grimace, le pincement est plus important que la première fois, pas trop encore, je sais qu’elle est fragile et sensible de ses pointes.
J’impose une posture simple, je regarde cette statue. Son visage prend petit à petit une lumière, un léger sourire de satisfaction vient dessiner plus haut ses lèvres. Elle ne bouge pas, depuis 10 bonnes minutes maintenant. Je contemple. Petite pause. Rite d’une suppliciée. Les pinces toujours bien en place, je pose des poids dessus, son visage se transforme de nouveau en image de souffrance, de crainte. Juste deux petits poids. Elle est désormais debout, je l’éduque comme une petite fille de la haute bourgeoisie, je lui apprends à marcher correctement avec ses talons hauts, mettre un pied devant l’autre, non pas comme les mannequins, juste un pied dans l’axe de celui en arrière. Des petits pas juste posés sur la pointe du pied, venant délicatement asseoir le talon pas encore totalement aiguille. La stèle est assez grande pour qu’elle puisse faire une petite douzaine de pas, avant d’être en face d’un chêne centenaire. Elle apprend vite, sa démarche a désormais des allures féminines et gracieuses.
Elle se pose devant moi. Je lui mets des bracelets de cuir, poignets, chevilles. Elle se pose sur les genoux, viens mettre son buste en contact avec le sol, laisse sa tête sur sa joue. Je lui écarte les jambes, ses chevilles viennent désormais rejoindre ses poignets, contorsions. Je lie les poignets aux chevilles, j’écarte un peu plus le tout, les chevilles écartées désormais par une barre appropriée.
Dans cette très inconfortable position, toujours sans mot, c’est agréable ce silence, je la laisse trouver ses repères avant de l’enculer.
Une noix de lubrifiant déposée sur son cul. Le Plug en mains, une petite taille, le premier d’une longue série, destiné à élargir les voies étroites. Doucement, avec fermeté l’objet avance, parfois, ses chaires se tendent. Petit aller et retour, toujours pour aller plus loin. La base du Plug n’est plus très loin, j’entends son souffle plus fort, de temps à autre un gémissement plus fort, parfois une contraction plus importante. Plus fermement, je pousse sur l’outil à dilater, celui-ci ne dois pas atteindre les 4cm de diamètre, l’équivalent d’une queue de mâle bien bâtis. Le point le plus large passe difficilement, puis, happé par ce cul désormais affaibli, le Plug vissé au fond d’elle. Elle bouge un peu, démontrant là un inconfort important, je me demande si le Plug est plus inconfortable que la position. Je détache ses poignets, lui demande de ce mettre sur les bras, elle reste ainsi, la tête posée sur la pierre froide, le cul en l’air offert vaincu…….. maintenant les choses sérieuses vont pouvoir commencer.

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