Répondre à : Couche ou pas couche

[Monsieur No]

Eh bien moi je dis oui, cent fois oui. ?

Il n’est rien qui me plaise davantage que de lire la honte sur le visage d’une demoiselle, de la voir rougir, baisser les yeux, vouloir se cacher pour échapper à mon regard.

C’est cette honte que je cherche quand je déculotte lentement une demoiselle qui se tient debout devant moi, mains sur la tête, tout en la sermonnant…

C’est cette honte que je savoure quand je contemple le fessier rougi d’une jeune femme obligée de se tenir au coin et de subir mes remarques incessantes sur le caractère honteux de sa situation…

… et c’est cette honte que je retrouve, de manière décuplée, dans les yeux des demoiselles auxquelles je réserve ce honteux traitement.

Être fessée est, certes, très humiliant pour une jeune femme, mais cela n’est rien comparé à la honte qu’elle ressent lorsque, après avoir été sévèrement corrigée, elle est contrainte de s’allonger sur le lit et de soulever le bassin afin d’aider l’homme qui veille sur elle à lui faire porter cette infantile parure.

On veillera bien entendu à rendre la mise en couche aussi humiliante que possible, en déplorant à haute voix qu’elle ne soit pas capable de se comporter comme une adulte et qu’il soit nécessaire de lui imposer cette humiliante pénitence. Pour faire bonne mesure, on l’enverra au coin dans cette tenue (à genoux, mains sur la tête de préférence), avant de lui faire revêtir son pyjama et de l’envoyer au lit de bonne heure.

Pour ma part, je ne m’en lasse pas. ?