Une disparition inquiétante

Une disparition inquiétante

Flash info spécial alerte disparition…

Une petite culotte a disparu hier entre 16 heures et 18 heures… Voici la dernière photo qui en a été prise.

Si vous la croisez ou disposez de renseignements, n’intervenez surtout pas, n’essayez même pas de l’approcher, mais laissez le plus vite possible un message à l’autorité compétente…

Après ce flash info très inquiétant, nous reprenons le cours de notre émission. Comme une suite à mon dernier texte, « Projet », je vais vous conter par le menu ce moment spécialement grandiose. Sans dévoiler la suite de cet haletant récit, je peux juste pour dire, pour l’avoir vécu je ne sais combien de fois, qu’on a beau avoir échafaudé un projet d’enfer, il n’est pas rare que tout ne se déroule pas toujours comme on le désirait…

Ma Charmante fut à l’heure au rendez-vous au pied du RER indiqué, même si j’eus quelques frayeurs dans les moments précédents étant donné la relative légèreté avec laquelle elle avait prévu son trajet… Quand je dis frayeurs, c’était surtout eu égard à ses fesses, qui auraient dégusté bien plus que raisonnable à la moindre minute de retard, mais dont acte : à l’heure précise au lieu de rendez-vous elle était.

Le début de ce projet d’après midi au sein (ah, ses seins… mon Dieu qu’ils sont beaux et que je les adore…) de mon cabinet professionnel, alors que quelques patientes attendaient que je leur prodigue mes bons soins, fut proche de ce qui avait été prévu. Ma secrétaire bossait à l’étage supérieur, sans aucune envie de venir voir ce que je m’escrimais à faire, mes patientes patientaient (vous me direz que c’est un pléonasme, c’est pour ça qu’elles viennent : attendre le moment où le docteur sera disponible… et en cette étrange après midi il y eut quelques minutes d’attente supplémentaires par rapport à mes habitudes professionnelles… Je m’en excuse ici-même auprès d’elles, en espérant juste qu’aucune ne lira jamais ces phrases !) gentiment dans la salle d’attente.

Ma Charmante fut très vite en tenue légère, menottée à la barre qui soutient le rond de chiotte (ben oui, désolé, le romantisme n’est pas mort !), plus ou moins confortablement assise sur le dit chiotte. Tenue légère… Une superbe guêpière offerte il y a quelques années par un admirateur fou (moi en l’occurrence) soutenant une douce paire de bas noirs et une petite culotte toute douce, noire également, dont je n’avais encore jamais eu l’heur de faire connaissance auparavant. Pour compléter le tout, un bandeau masquait ses yeux.

Saisissant opportunément les quelques instants séparant le passage obligé d’une patiente à la suivante dans la salle d’examen jouxtant l’endroit où ma Charmante attendait le bon vouloir de mes mains, ayant la disponibilité de deux cabines de déshabillage et enjoignant la future patiente plus ou moins malade d’aller se mettre à nu dans « l’autre » cabine, la première étant occupée comme vous l’imaginez, je profitai donc de ces quelques instants de répit professionnel pour me rendre quasiment au chevet de ma pauvre Charmante pénitente… J’avais extrait un de ses seins de la guêpière et m’amusais gentiment à en triturer l’extrémité framboisée, tout en lui allouant quelques baisers profond. Dans la position où je l’avais contrainte, assise sur la cuvette des chiottes dois-je le rappeler, il m’était difficile d’accéder à ses fesses pour les lui claquer… mais il était encore très tôt dans cette après-midi.

Il y eut quelques instants où ma main furtive s’immisça sous la douce texture de sa petite culotte noire, juste pour vérifier qu’elle appréciait ce jeu pervers… Quelques moments plus tard, la culotte fut rabaissée au milieu de ses cuisses, puis un peu plus bas… Mes doigts se firent furtifs mais pénétrants, avant que je ne lui demande de se caresser sous l’oeil inquisiteur de mon objectif photographique…

Deux, voire trois patientes plus tard… (Désolé, il y a des moments dans la vie professionnelle où on ne compte plus ses patients, mais je vous rassure, je ne pense avoir commis aucune erreur diagnostique hier après-midi… la preuve : mes doigts savaient pertinemment que ma Charmante était totalement réceptive à la qualité de mon travail… surtout celui de mes doigts sur son clitoris…) Donc un peu plus tard, ayant attaché ses poignets avec une rugueuse cordelette (il faudrait que je vous en raconte l’origine, mais ce serait trop long… quoique… une superbe bouteille de scotch vieillie en fût de rhum et joliment agrémentée sur le goulot d’une corde bien rêche… bon demandez moi en message privé le nom du scotch en question, la cordelette ainsi que le contenu du flacon méritent l’estime), ayant donc attaché ses poignets en haut du tuyau de la chasse d’eau des chiottes (oui… romantisme toujours pas mort…) ma Charmante fut debout, cul nu, et mes claques tombèrent durement, avant que les lanières d’un bon vieux martinet ne viennent prendre le relais. Elle fut totalement coite, comme je l’en avais expressément sommé, une autre jeune femme totalement nue attendant à moins d’un mètre de là, allongée sur mon lit d’examen, juste séparée de nous par une mince cloison de placoplâtre, que je vienne m’occuper de son cas… il eut été dommageable pour ma carrière professionnelle que cette patiente entende le moindre cri venant du local voisin…

Je délivrai quelques instants plus tard ma Charmante pénitente de ses liens, cordelette et menottes, et, comme on dit dans les bons romans d’espionnage, je l’exfiltrai de la cabine de déshabillage vers mon bureau, situé à environ un mètre de distance…Dans la tenue où elle était, j’avais pris soin de m’assurer qu’il n’y avait personne en salle d’attente, et je la laissai alors s’occuper de ce qu’elle voulait, au moment où la patiente suivante descendait l’escalier pour se livrer à mes bons soins médicaux…

Lorsque je revins quelques minutes plus tard dans mon bureau, ma pénitente de cette après-midi était confortablement installée sur le fauteuil du chef, portant toujours sa guêpière, et sur ses épaules un grand foulard de laine. Après quelques papotages de banalités, je lui demandai de se mettre à genoux sur mon fauteuil. Le temps de faire le tour de mon bureau un peu encombré de centaines de papelards, je pus alors m’occuper de son cul nu, par quelques claques retentissantes et quelques coups de martinet. Elle ne broncha même pas… insuffisant peut-être ? Il faudrait que je lui demande à l’occasion, mais la suite… la suite…

Je lui indiquai, juste pour info, qu’un peu plus tard, en gros dans les minutes suivantes, j’allais l’entraîner vers une des salles d’examen de mon cabinet, un peu plus à l’ouest, et que j’allais l’y attacher nue, les pattes en l’air et la fouetter et la fesser correctement…Elle avait déjà eu à quelques reprises l’occasion de connaître cet endroit.

Cinq minutes plus tard, revenant à quelques pas de cet endroit, et faisant mon travail harassant de médecin, j’entendis un « psittttt »… renouvelé d’un « pssittttttttttttttt », ce à quoi je répondis tout de go, la porte séparant le lieu où je travaillais de celui d’où venait ce « psit » étant ouverte, par un « Oui c’est bon je sais bien que tu es là… ce n’est pas la première fois que j’entends une fille m’appeler de cet endroit… »

Malgré tout, quelques secondes plus tard, pénétrant dans la salle d’examen, je fus un peu interloqué de voir cette si jolie femme totalement nue, allongée à plat ventre sur ma table d’examen, n’attendant que… Il y a des moments où la demande est si intense, même et surtout si non formulée… Trois secondes plus tard, armé de mon vieux martinet, j’étais prêt à la fouetter… Je ne m’en privais nullement, cinglant allègrement son cul des lanières de cuir… Les mouvements de son corps totalement nu, affalé à plat ventre sur ma table d’examen, se tordant gentiment, sans broncher sous les assauts des lanières de mon martinet furent tout juste sympathiques… Je cinglai férocement son cul et le bas de ses reins, et enfin quelques jolies traces rougeâtres apparurent sur cet épiderme si tendre… En référence au projet envisagé, tout cela s’engageait fort bien… Nous avancions gentiment vers le dur… et en parlant de dur…

N’ayant pas techniquement la possibilité, comme indiqué précédemment, d’immobiliser ses chevilles en l’air, ce ne furent que mes mains qui les obligèrent à se tenir correctement dans la position que je souhaitais. Allongée sur le dos en travers de la table d’examen, totalement nue puisque c’est dans cette absence de tenue qu’elle était venue elle-même se fourvoyer dans cet endroit, j’écartai ses jambes, offrant son sexe à la pénétration du mien. Juste le temps de descendre le zip de la braguette de mon pantalon, et voilà : j’accomplissais une des versions non-écrites mais ô combien satisfaisante de mon projet initial. Les murmures qui s’échappaient de sa gorge me laissaient d’ailleurs comprendre qu’elle n’avait rien à redire à cet attentat total envers sa pudeur… Je la baisai tranquillement, voire joyeusement, en imaginant déjà la suite de mon programme.

C’est à ce moment que tout bascule…

Je connais parfaitement bien les locaux dans lesquels j’exerce mon activité professionnelle depuis si longtemps. Un minime bruit… une porte lointaine qui s’ouvre… Je le sais, intuitivement : la personne qui s’occupe du ménage arrive. Pourtant je me suis assuré en début de matinée qu’elle ne viendrait pas… mais bon, il faut se résoudre à l’évidence… un intrus vient nous perturber !

En catastrophe, je replace l’objet de notre gentil délire sexuel en place, je fais quelques pas et referme la porte de la salle d’examen où ma Charmante est encore alanguie, les cuisses ouvertes, se demandant pourquoi mon sexe s’en est évaporé si brusquement, et je m’avance vers la pièce où l’intrus vient nous agacer… La personne en question jette un œil discret vers ma braguette et dit « Eh ben vous avez l’air d’aller mieux aujourd’hui… »

Certes, j’ai quelques problèmes de santé actuellement, mais tout de même… Cet hommage pourrait me satisfaire, mais en l’occurrence, je me sens un peu en perdition… Quelques instants plus tard, j’enjoins ma Charmante d’aller se planquer, toujours aussi nue, dans un placard vers lequel je sais que ma ménageuse n’ira pas farfouiller…

Le temps passe… Enfin, à ma demande expresse, mon personnel fout le camp et ma Charmante pénitente et moi nous retrouvons enfin seuls. Elle toujours aussi nue et moi totalement vêtu mais ayant sérieusement débandé…

Nous convenons tout de go que dans les conditions actuelles, et vu ce qu’il vient de se passer, il n’est pas possible de reprendre le scenario prévu, et encore moins la sérénade interrompue…

Champage (enfin…!) grignotage et papotage plus tard…

Dans l’état où je me sens, la fin du projet s’estompe… L’attacher nue, debout, bras et jambes écartés, la fesser et la fouetter jusqu’à plus soif… non, désolé, j’ai pas la moëlle… Devant les premières gorgées de champagne, nous en convenons. Non, des fois on ne fait pas vraiment ce qu’on avait prévu de faire… Qu’à cela ne tienne : buvons, dégustons, papotons… Nous allons si bien ensemble.

Le temps passe… Je lui propose d’aller faire juste un grand câlin sur mon lit d’examen, dans la pièce voisine, vu qu’il n’a pas été possible de ceci et cela. Elle trouve ça bien et va requérir dans mon bureau du genre caverne d’Ali Baba juste ce qu’il faut : un vieux drap et une petite couverture. Par principe elle me demande de venir m’allonger auprès d’elle, dans la même tenue, soit à oilpé total… comment refuser ? Nos corps nus se retrouvent et fusionnent. Par pure envie de sa part, mon sexe se retrouve dans sa bouche et… une nouvelle fois… comment refuser cette offrande ? Mais il se fait tard, et mon sexe est plus qu’en émoi… Il est grand temps de revenir à notre ébat sexuel interrompu trop précocement il y a deux heures.

Positionnée comme je le souhaite à la demande de mes mains fermes, je pénètre son sexe qui n’attend que ma bite pour le satisfaire. Je commence ce labeur si jouissif, mais lui explique à voix très douce et basse que ce cul si joliment offert, puisqu’elle se laisse pénétrer par mon sexe à plat ventre, ce cul si joliment offert à mes yeux mérite bien autre chose… Deux fois… trois fois… mes mots prononcés si doucement parviennent-ils à ses oreilles ? Je n’en suis pas sûr…

Il faut que j’en arrive à un de mes fantasmes, que j’avais envisagé de réaliser ce soir… Hélas pas totalement… mais suffisamment pour que ce soit jouissif…

Je susurre toujours aussi doucement à ses oreilles…

« Tu vas te redresser, te lever et aller chercher la ceinture de mon pantalon… »

J’aurais adoré lui faire cette proposition, voire lui adresser cette injonction moi debout, habillé, et elle nue à mes genoux. La situation n’est pas telle que je l’aurais rêvée… La voir nue devant moi, agenouillée, dégrafant progressivement l’objet de sa future punition, me le présentant mains tendues, comme l’acceptation totale du châtiment à venir…

Néanmoins, elle se redresse, se lève et file vers l’endroit où j’ai abandonné mon pantalon, extrayant la ceinture, puis revient me la proposer… Il me faut lui intimer l’ordre de me la présenter correctement, délicatement pliée en deux, et déposée sur la paume de mes mains tendues.

Je la place à l’endroit prévu dans ma tête (non pas la ceinture, mais ma Charmante…) juste au bout du lit d’examen, et redresse son cul avec la télécommande, jusqu’à ce que ses pieds ne touchent plus le sol… La ceinture est délicatement posée sur son dos, et mes mains enfin lui assènent la vraie fessée qu’elle aime tant…

Je frappe très vite et très fort, ne respectant même pas l’alternance droite gauche… Je claque et reclaque, juste au gré de mon plaisir de fesser ce cul que j’aime tant, enfonçant de temps en temps mon sexe dans le sien, quitte à jouer avec la télécommande du lit d’examen permettant de monter ou descendre pour que la pénétration soit comme ceci ou cela… Son cul rougit au fur et à mesure de cette fessée dont nous avions tellement envie tous les deux… Je ne sais ce qui déclenche plus d’ondes de plaisir chez elle, mes claques sur son cul ou mes coups de sexe plus ou moins profonds… à ce moment précis (mais encore aujourd’hui, un jour plus tard) je ne sais toujours pas, et je dois vous l’avouer, je m’en fous…

Quelques minutes plus tard, mon sexe cette fois enfoui au plus profond du sien, la ceinture joliment déposée un peu plus tôt en travers de son dos s’enroule autour de mon poignet, et je m’en sers pour la cingler (la cingler… le cingler surtout… ou les cingler… comme vous voudrez et imaginerez… son cul, ses fesses, son dos…) tout en travaillant profondément ce qui nous anime tous les deux à cet instant précis… la jouissance de nos sexes… Son cul est magistralement rougi, avec de superbes traces de ma méchante ceinture : j’adore ! Oui, en fait cinglés tous les deux nous sommes.

Puis repos… câlin… discussion à voix basse, caresses et bien plus puisqu’affinités… plaisir qui explose…

Il est temps de regagner nos pénates respectives, et j’en reviens au sujet princeps

On se rhabille…

« Elle est où ma petite culotte ?

– Ben, j’en sais rien moi… Tu l’as vue quand pour la dernière fois ?

– Ben je ne sais plus.

– Tu ne l’as pas mise dans la poche de ton pantalon quand l’autre abruti est venu pour faire le ménage ?

– Mais, euh, non. J’en sais rien moi. J’étais à poil sur la table d’examen… »

Etc. etc…

À cet instant, une bonne journée plus tard, cette culotte reste toujours introuvable… Retour aux lignes initiales : si par hasard vous croisez cette petite culotte…

Le projet initial ne fut pas respecté. Il n’empêche : c’était un moment grandiose. Comme à chaque fois avec ma Charmante ?

2 commentaires

  1. Presque une ‘alerte disparition’ 😉

  2. Je fais signe si je la retrouve… 😉

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