Une serveuse coquine

Une serveuse coquine

Cette histoire a eu lieu il y a très peu de temps. J’étais alors célibataire depuis une semaine, ce qui est d’ailleurs toujours le cas. C’était un soir de fin d’été plutôt pluvieux : je venais de terminer de manger et décidai alors de sortir un peu pour rompre la monotonie de l’habituelle semaine de travail et, qui sait, peut-être faire des rencontres. Je me rends donc dans un bar/restaurant proche de chez moi où j’ai l’habitude de boire un verre quelques fois par mois mais souvent avec plusieurs amis. Je me gare en moto devant ce dernier et franchis la porte d’entrée habillé comme souvent d’un jean et de ma veste en cuir noir et blanche.

Le bar est assez grand, on entre par la terrasse où se situent tous les habituels fumeurs, essentiellement des jeunes d’une vingtaine d’année, qui empestent le lieu de leurs cigarettes. Je salue brièvement quelques connaissances avec lesquelles je ne partage pas de grandes affinités et pars m’installer à l’intérieur. L’endroit est spacieux, avec une vingtaine de tables disposées autour du comptoir central, mais peu d’entre elles sont occupées à l’inverse de celles de l’extérieur.

Il est 22h et je m’installe vers le fond de la salle pour être tranquille. Je prends un journal et réfléchis à ce que je pourrais commander. Je jette mon dévolu sur un coca bien frais et commence à feuilleter le journal du jour en attendant un quelconque serveur. C’est là que je l’ai aperçue pour la première fois… Inutile de préciser qu’étant un habitué des lieux je connais très bien tout le personnel, mais elle, c’était la première fois que je la voyais. Elle était plus que charmante : brune, très fine (peut-être trop pour certain), elle était juste un peu plus petite que moi, dans les 1m75. Elle devait avoir mon âge (première moitié de la vingtaine) et on voyait très clairement qu’elle venait de débuter ce travail car elle était fort maladroite. Ses yeux étaient superbes, je pense qu’ils étaient bleu/gris très clair (étant légèrement daltonien je ne peux pas en être certain) et elle avait de longs cheveux noirs. Nos regard se croisèrent une fois, deux fois, trois fois. Elle me faisait de petits sourires et je les lui rendais, ce qui ne me laissait pas indifférent. J’attendais depuis bientôt dix minutes qu’elle daigne venir me servir mais je ne voulais pas l’appeler directement, je préférais attendre qu’elle vienne d’elle-même.

Et puis elle arriva, un sourire coquin presque jusqu’aux oreilles, et me demanda d’une voix malicieuse ce que je désirais boire. J’eus le sentiment rare que le courant passait plus que très bien entre nous. Après avoir échangé quelques banalités et passé ma commande, elle s’en alla, me laissant quelques secondes le temps d’admirer un petit fessier bien galbé qui me donna presque déjà des picotements dans le creux de ma main. J’attendis de nouveau presque dix minutes ma boisson, ce qui était bien long étant donné le vide de la salle intérieure. Mais, presque sans que je la voie arriver, elle m’apporta mon coca et, en me servant, me dit une phrase qui résonne encore dans ma tête et qui m’a, sur le moment, fait oublier jusqu’à mon prénom :

«Qu’est-ce qui se passerait si, là, tout de suite, je le renversais sur vos genoux ? »

Mon sang ne fit qu’un tour ! Que dire ? que faire ? La première réponse qui me vint à l’esprit fut :

« Je vous coucherais immédiatement sur mes genoux et je vous fesserais comme une gamine jusqu’à ce que vous ne puissiez plus vous asseoir. »

Mais, après avoir tourné sept fois ma langue dans ma bouche, je me dis que cette réponse pouvait bien évidemment être une mauvaise idée. Cependant il fallait répondre vite, être sûr de soi, donner une réponse pas trop ouverte mais pas trop fermée, rentrer dans le jeu mais de manière délicate et raffinée. Alors que mon estomac s’était retourné dans tous les sens comme une toupie, je réussis à articuler correctement un :

« Tout dépend si vous voulez réussir à vous asseoir en rentrant chez vous ce soir… »

Même si elle paraissait sûre d’elle, je savais que ça ne l’avait pas laissé indifférente…

Elle me dit alors, en bafouillant légèrement :

« Qu’est-ce que vous voulez dire ? »

Elle n’était pas si innocente et elle cherchait quelque chose, ne serait-ce que pour le plaisir de me taquiner. Mais il était clair pour moi que c’était de la drague non dissimulée.

« Vous avez parfaitement compris ce que je voulais dire. À votre place, je ferais attention » lui dis-je d’un air sérieux mais tout aussi joueur.

Elle m’avait fortement perturbé avec sa première question mais là c’est moi qui avais réussi à la déstabiliser. Avant de s’en aller elle me lança un petit :

« C’est ce qu’on verra. »

Rien que dans cet infime espace de temps, mes mains étaient devenues moites, mon cœur battait plus vite, mon estomac était totalement noué, mais qu’est-ce que je me sentais bien. C’était une occasion en or massif ! Je ne devais pas me rater, trouver le juste milieu pour la séduire un minimum et surtout ne pas la faire fuir. Il s’ensuivit alors une bataille de regards et de sourires qui dura jusqu’à ce que je termine ma boisson, mais bien entendu elle me fit volontairement attendre avant de venir chercher le verre et la bouteille vide. Le jeu était clair entre nous mais il fallait passer à l’étape suivante. Alors qu’elle s’approchait de moi pour me débarrasser, je lui demandai à quelle heure elle finissait et si je pouvais me permettre de la raccompagner. Elle tenta alors de cacher le plaisir que lui avait procuré ma question, mais son sourire la trahissait.

« Je finis à 23h30, et ce serait avec plaisir. Par contre dans ce cas je regrette quand même de ne pas avoir trempé votre jean, cela aurait été plus amusant » me dit-elle.

Je n’en revenais pas ! J’étais à la limite de l’arrêt cardiaque tellement mon cœur battait vite. Ce petit jeu de taquinerie me rendait tout simplement fou. Chaque minute qui passait je l’imaginais en travers de mes genoux en train de recevoir la fessée de sa vie. Est-ce que pour la première fois j’allais avoir le plaisir de vraiment corriger une jeune demoiselle insolente ? Tout ce que je savais, c’est qu’il ne fallait pas laisser cette opportunité passer.

Les minutes ressemblaient à des heures, le jeu du regard et du sourire persistait, et mon niveau d’excitation et de stress doublait de minute en minute.

Soudain, l’heure fatidique arriva ! Elle vint alors vers moi et me dit doucement de l’attendre dehors, ce que je fis immédiatement. Je me positionnai près de ma moto. Les minutes passaient, aussi lentement que des jours entiers, et dans ma tête les questions se bousculaient. Elle devait en avoir tout au plus pour cinq minutes et ça faisait 20 minutes que j’attendais. J’avais le sentiment encore une fois qu’elle prenait un malin plaisir à me faire poireauter et je comptais bien lui faire payer toute ces minutes d’attentes. Soudain je vis sa silhouette sortir du bar ainsi que ses yeux qui perçaient l’obscurité de la nuit, encore et toujours avec le même sourire qui me faisait chavirer émotionnellement. Stupidement je pensais la retrouver moins coquines et moins sûre d’elle que dans son lieu de travail où elle était pleine de confiance, mais je m’étais trompé. Lorsqu’elle vit ma moto elle me lança :

«  C’est à toi ? Toi tu sais conduire ça ? Je suis sûr que tu conduis plus lentement qu’une grand-mère avec ! »

Décidément elle n’avait pas conscience de la personne à laquelle elle avait affaire, ou peut-être que justement elle le savait très bien. Je grinçai des dents et elle me dit, avant que j’aie le temps de répliquer quoi que ce soit :

« Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ? On commence à s’énerver tout rouge ? »

Je bouillonnais ! De plus le ton utilisé était très infantilisant Je décidais alors de l’attraper par le bras et en me plongeant dans ses magnifiques yeux, lui dit de manière détendue :

« A moins que tu aies envie de dormir sur le ventre ce soir, je te conseille vivement de faire preuve de plus de respect. »

Elle se mit à rire. Je n’avais jamais vu tant d’insolence mais son charme était incroyable. Au moment où je voulais lui refaire la morale elle se dégagea de mon étreinte, trop rapidement pour que je puisse la retenir, et elle s’enfuit alors en courant et en riant dans le petit parc de derrière où se trouvent des petits immeubles. Je réussis à la rattraper (ce qui n’était pas évident avec un casque à la main et une veste de moto rigide) et enroulai mes bras autour d’elle. Nous manquâmes de tomber et je rigolai à mon tour. Ce fut un moment de grande douceur mais l’envie de lui administrer la fessée tant méritée revenait au galop.

« Tu sais que tes fesses vont t’en vouloir d’agir de la sorte » lui dis-je.

« Ah vous les homme vous êtes tous pareil : ça parle mais ça pisse pas loin. »

Étonnamment je réussis à garder mon calme, mais l’envie de m’occuper de ses fesses me consumait de l’intérieur. Elle me prit par le bras et me guida vers une allée d’immeuble. Nous étions déjà en bas de chez elle et nous prîmes l’ascenseur. L’endroit n’était pas luxueux mais propre. L’ascenseur était petit, elle me regarda de haut en bas.

« Qu’est-ce qu’il y a ? Tu stresses ? » me dit-elle du même ton insolent et joueur.

C’était la première fois que je pouvais vraiment sentir son parfum, il m’était inconnu, mais d’une finesse remarquable. Je lui dis alors pour lui faire plaisir :

«  C’est juste qu’il est rare de rencontrer une aussi jolie fille que toi. »

Un sourire différent des autres fois apparut sur son visage, mais sa réponse fut toujours celle de la petite peste qu’elle était.

« Tiens, tu dis enfin quelque chose d’intelligent. »

Je n’avais plus besoin de la menacer de quoi que ce soit ; mon regard noir voulais tout dire. Ce n’est qu’après avoir franchi la porte de son appartement que je pris réellement conscience de ce qui allait se passer. Encore une fois, une quantité d’émotions fortes traversaient mon corps de toute part. C’était un petit deux pièces mais j’aimais les couleurs de sa décoration. En revanche il n’était pas très bien rangé : un peu de vaisselle traînait sur l’évier ainsi que quelques vêtements non rangés et notamment une petite culotte blanche en dentelle posée sur une chaise qui attira vivement mon regard. Ceci dit les quelques cuillères en bois dans la cuisine aussi…

« C’est comme ça qu’une aussi joli jeune femme s’occupe de son appartement ? » lui demandai-je.

« Je n’ai personne pour me demander de ranger alors je ne le fait pas » répliqua-t-elle.

Je n’en pouvais plus d’excitation, j’allais la fesser, enfin. Jouant le jeu jusqu’au bout, et pour la faire languir un peu, je lui ordonnai de ramasser au plus vite ses affaire qui traînaient si elle ne voulait pas voir sa punition être encore plus sévère que prévu. Sans broncher elle s’exécuta et rangea plutôt rapidement son petit appartement, ce qui m’étonna fortement étant donné son haut niveau d’arrogance. J’attendais, les bras croisés, dans un bord de la pièce, puis, comme si elle venait de se rendre compte que la fessée allait vraiment arriver, elle vint se mettre devant moi un peu honteuse et me dit d’une petite voix :

« Alors… Ça y est ? Tu vas… me punir ? »

Elle fixait le sol et elle réussit presque à m’attendrir, presque…

« Oui, je vais te punir et très sévèrement, lui dis-je sèchement.

– Tu vas me donner une très grosse fessée ? me demanda-t-elle.

– Tu n’imagines même pas » lui répondis-je.

Sa manière de parler avait drastiquement changé et je soupçonnais que c’était de la comédie pour réduire sa peine. Je saisis alors une des deux chaises de la pièce et la plaçai à côté de son lit. Je m’assis les bras croisé et je lui demandais d’enlever son pantalon et de venir près de moi. Toujours sans me regarder elle balbutia un :

« Quoi ? Déjà ? Ça fait si mal sur les fesses nues… »

Immédiatement, je lui-dis :

« Regarde-moi dans les yeux et ne joue pas à l’innocente avec moi ! Tu enlèves ton pantalon maintenant ou je viens te chercher et je le fais moi-même et je te jure que la fessée durera jusqu’à demain matin ! »

Je m’étais surpris moi-même à parler de façon aussi dure, alors qu’en temps normal je suis très (trop) gentil. Mais j’étais plutôt content de moi sur ce coup et je sentais que j’avais presque un contrôle total sur elle. Presque…

Elle déboutonna son pantalon, le fit tomber à ses cheville et je vis apparaître une petite culotte à dentelle, blanche de nouveau, qui ne me laissa pas stoïque. J’avais trop d’envies et d’émotions, intérieurement je tremblais comme une feuille et un peu extérieurement aussi. Elle prit son pantalon à deux mains et le plia délicatement en deux sur le lit. Elle était magnifique, encore plus sans vêtements. Elle avait une taille de guêpe, j’avais rarement vu une femme aussi fine. Attention : elle était tout sauf squelettique ; elle avait de jolies formes mais elle était juste très svelte, une peau blanche très claire, de petits seins, mais comme elle me faisait face je n’avais pas encore pu contempler la partie la plus séduisante de son anatomie.

Elle s’approcha doucement, comme un animal apeuré, jusqu’à être à ma portée. Je contemplai sans gêne tous les détails de ces jambes si magnifiques. Je levai les yeux et lui dit :

« Alors, tu es prête ? »

Aucune réponse. Je la saisis par le bras et l’amenai délicatement sur mes genoux, tout en soupirant :

« Quand je pose une question on me répond, mais visiblement ça aussi je vais devoir te l’apprendre. »

J’avais le souffle court. Elle était là, sur mes genoux, prête à se faire longuement corriger. Ses fesses étaient sublimes, enrobées dans cette petite culotte qui ne couvrait que très peu son joli derrière. Je caressai délicatement ces deux globes parfaits avant la tempête de claques qui allait s’abattre sur ces derniers. La peau de sa croupe toute blanche avait l’air très fine et fragile, mais ça n’était en aucun cas une raison pour me montrer plus clément envers cette petite diablesse. La vue de cette jeune fille en position de grande vulnérabilité sur mes genoux me procura un plaisir nouveau et très intense. Ça allait enfin commencer…

Je levai ma main droite et frappai sèchement la fesse gauche de la demoiselle, qui ne fit aucun bruit ni mouvement. La totalité de son corps et de son petit pull étaient d’une douceur fantastique. Je levai à nouveau ma main et claquai sa deuxième fesse ; elle ne fit toujours aucun bruit mais bougea légèrement ses jambe. Malgré le manque de sévérité de ces deux claques, je distinguai, sur chaque fesse, l’empreinte de ma main qui avait finement rosé cette peau si tendre.

Je répétai l’opération 10 fois de chaque côté. Je ne distinguais plus vraiment la marque de tous mes doigts mais la totalité de ses fesses était désormais d’un rose très pâle. Je me dis qu’il fallait commencer doucement afin de ne pas brusquer sa peau et sa chair si délicate ; je recommençai donc de nouveau avec vingt claques de force égale sur ses deux fesses. Toujours aucun petit cri ni aucun mouvement de sa part. Je fis une petite pause pour caresser son fessier et admirer un rose très légèrement plus soutenu. J’aimais la sentir sur mes genoux, sentir sa respiration, j’étais suis d’ailleurs surpris qu’elle n’ait encore fait aucun commentaire. J’avais l’impression de sentir sa crainte, car elle savait que sa punition venait seulement de commencer.

J’avais peur d’y aller trop fort : après tout on se connaissait que depuis quelques heures et je ne connaissais pas ses limites. Cependant je me rassurai en me disant que je sentirais si cela se passait mal pour elle. J’administrai vingt nouvelles claques sur ses fesses, légèrement plus fortes que les dernières. Cette fois-ci j’entendis un petit « aïe » : son bas du dos devait commencer à brûler légèrement et sa respiration se faisait un peu plus rapide. Je laissais une à deux secondes entre chaque claque. J’hésitais à lui demander comment elle se sentait mais c’était une punition et elle devait assumer. Pendant ce temps je me disais que la fessée devait se faire plus dure et passer à la vitesse supérieure. Je décidai donc de fesser encore plus fort et de donner non pas vingt coups de suite, mais quarante. Cette fois-ci elle eut plus de mal à résister et remua souvent des jambes mais ne dit rien, enfin jusqu’au moment où elle a comprit que j’allais non pas à vingt mais à quarante. Elle articula quelque : « aie », « non ».

Je m’arrêtai à la fin de cette série un peu plus longtemps pour passer ma main sur ses fesses qui commençaient à tirer sur le rouge clair de manière très uniforme. Je lui dis alors de se lever, ce qu’elle fit sans peine. Elle me regarda avec un air de chien battu mais je résistai tant bien que mal à cette technique d’attendrissement. Je lui dis :

« À présent tu vas enlever ta culotte et me la donner.

– Non c’est gênant, répondit-t-elle.

– Tu continues à me répondre ? Alors quand tu retourneras sur mes genoux tu auras quinze claques de plus !

– Non, s’il te plaît !

– Alors ça sera 30 ! »

Sans dire un mot de plus elle retira sa culotte et me la donna. Elle était trempée, ce qui expliquait une partie de sa gêne. Je la repris par le poignet, plus fermement que la première fois, et la positionnai pour continuer sa punition tant méritée. Je décidai d’accélérer légèrement la cadence de la fessée et de claquer encore plus fort, surtout à la vue de sa lune qui, en ce court espace de temps, avait déjà commencé à redevenir rose pâle. Pendant les dix premiers coups elle réussit à se contrôler mais son épiderme devait commencer à bien chauffer et durant les vingt dernières claques elle laissa échapper plusieurs « ouille », « s’il te plaît » et battre des jambes de manière plus frénétique. A la fin de cette salve je la laissai se calmer un peu comme les autres fois. J’attendis donc le temps qu’elle souffle un peu et aussi que je puisse admirer ses fesses qui commençaient à avoir une belle couleur rouge.

J’étais hésitant pour le reste de la punition. Même si elle avait mal, je sentais très bien qu’elle pouvait tenir encore longtemps et que ça lui faisait de l’effet. Je continuai donc sur une autre série d’une vingtaine de coups qui la fit se trémousser et, à la fin de cette série, elle me dit :

« Hé bien moi qui pensais que tu étais juste un peu trouillard, je me rends compte que tu n’as vraiment rien entre les jambes !

– Ah bon… »

C’était la phrase de trop, l’insolence à son paroxysme. Alors qu’elle est en train d’être punie, elle me sortait ça ! Moi qui pensais abréger sa punition car elle était sage ! Je bouillonnais. Cette fois je n’arrêterais la fessée que quand je le voudrais, peu importe qu’elle me supplie et qu’elle pleure à chaudes larmes, ça lui apprendrait un peu le respect ! J’avais envie de défaire ma ceinture et de l’allonger sur le lit pour la punir plus sévèrement. J’avais cependant peur de perdre le contrôle ; en effet, là je pouvais la maintenir comme il le fallait et elle ne pouvait pas s’échapper ou contrer sa punition. Cette fois j’allais lui donner la fessée de sa vie.

Je levai ma main le plus haut possible et frappai le plus fort possible sa fesse gauche par surprise. Elle lâcha un cri de douleur aigüe. Je relevai alors ma main le plus haut possible pour fesser le côté droit. Je vis l’empreinte brûlante de ma main sur ses deux fesses qui venaient d’être meurtries. J’avais à peine eu le temps d’admirer ce spectacle que j’abattis très violemment ma main sur son autre fesse, lui arrachant un nouveau cri de douleur. Je répétai alors ces claques une trentaine de fois et de manière très rapide malgré ses tentatives pour protéger sa croupe. Au bout de la dixième claques, des larmes commencèrent à couler sur ses joues. Elle me suppliait d’arrêter, mais c’était trop tard : elle avait voulu me chercher, elle m’avait trouvé.

Au bout des trente claques, les plus fortes que je pouvais donner, ses pauvres fesses étaient d’in rouge très sombre. Elle reprit alors son souffle et je lui laissai une minute pour respirer avant de continuer à la fesser, plus lentement et un peu moins fort. Elle laissait échapper des petits cris et des grognements à intervalle régulier. Ses fesses devaient être brûlantes comme jamais. Parallèlement à ça, je sentais son ventre se contracter sous les claques.

J’adoucis encore mes claques, car ses fesses étaient si rouges que je n’avais pas besoin de fesser fort pour que ces dernières lui fassent. Ma main avait bien chauffé et elle commençait elle aussi à brûler.

Je limitai encore la vitesse et la force de la fessée jusqu’à qu’elle se transforme en caresses. C’était presque la fin, je lui dis alors :

« C’est bon, tu as compris la leçon ? »

Elle répondit d’une petite voix :

« J’en sais trop rien… Sûrement…

– Dans ce cas je vais faire en sorte qu’on en soit certains tous les deux. »

Elle essaya alors de protéger ses fesses en me promettant qu’elle avait compris. Je lui saisis alors le bras et dis :

« Après toutes les remarques insolentes que tu m’as faites, il me semble que c’est une punition méritée. »

Je levai alors ma main et lui administrai une très forte fessée d’une quarantaine de claques rapides qui, pour elle, devait sembler durer une éternité. Elle gigotait et criait franchement. Cette fois je le sentais : elle était au bout, elle n’en pouvait vraiment plus. Je sentais toutes ses émotions exploser en elle et la voyais se relâcher complètement. Je la laissai glisser par terre à la fin de cette dernière salve pour presque immédiatement la relever et la coucher à plat ventre sur son lit. Elle reniflait et sanglotait encore un peu. Je m’assis alors à ses coté et lui caressai les cheveux et la nuque délicatement. Ses fesses étaient vraiment rouge vif et sûrement très douloureuses.

Les émotions qui me parcouraient étaient juste indescriptibles, une sorte de cocktail de plaisir, d’envie, de satisfaction, de peur d’avoir été trop sévère, d’attendrissement et d’affection. Je caressai l’entièreté de son corps en prenant soin d’être le plus doux possible avec son bas du dos. Soudain, elle se retourna et me plaqua contre elle puis m’embrassa tendrement. Je me sentais fusionner avec elle, j’avais la sensation que l’on était hors du temps.

Elle était, malgré la sévérité de la fessée, toujours trempée entre ses jambes. Je me déshabillai alors et nous fîmes l’amour plutôt tendrement, deux fois. À la fin de nos ébat nous discutâmes et rigolâmes ensemble. Allongés l’un contre l’autre je la serrai fort contre mon torse puis, après ces doux moments de plaisir, nous nous endormîmes, serrés l’un contre l’autre.

12 commentaires

  1. Un récit qui sent le vécut et le coup de foudre J’ai adoré vous lire
    Merci de me donner tant d’émotions

  2. Cette Charlotte a la même insolence que moi. Ce récit m’a fait sourire tant j’avais l’impression de me voir. Merci

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