
Les positions pour une fessée
Dans cet article, nous vous présenterons un panorama des positions les plus utilisées pour donner une fessée. Outre une description de chacune de ces positions et des conseils relatifs à leur utilisation, nous proposerons une évaluation fondée sur trois critères :
- Le contrôle correspond à la facilité avec laquelle le fesseur peut maintenir sa partenaire en position.
- L’embarras indique à quel point cette position est généralement jugée humiliante par les demoiselles.
- La vulnérabilité indique à quel point une fessée donnée dans cette position sera douloureuse.
Bien entendu, nous ne prétendons nullement établir une vérité absolue : ces critères sont subjectifs, et les indications fournies ne sont que le reflet de notre expérience.
Ceci étant dit, passons à l’examen de ces positions.
Sur les genoux du fesseur

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L’homme s’assoit sur une chaise, un canapé, un lit. La demoiselle vient s’allonger en travers de ses genoux, plaçant son fessier à portée immédiate de la main de son partenaire. Si elle s’agite, ce dernier peut aisément la maintenir en place en enroulant autour de son bassin le bras qu’il n’utilise pas pour la fesser.
Cette position, souvent désignée par les initiales “OTK” (pour “over the knees“), est la position traditionnelle pour une fessée. Bien qu’extrêmement classique, elle est très embarrassante pour la demoiselle, car très infantilisante : une jeune femme qui reçoit une fessée déculottée sur les genoux aura vite tendance à se sentir petite fille…
Cette position est évidemment parfaite pour une fessée à la main mais s’accorde également avec l’utilisation d’un petit paddle, d’une brosse à cheveux… de tout instrument, en somme, dont l’utilisation ne nécessite pas de recul.
Que dire d’autre sur cette position, sinon qu’il s’agit d’une valeur sûre, d’un classique indémodable, avec lequel on est sûr de ne pas se tromper.
Sur l’un des genoux du fesseur assis

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Dans cette variation sur la fessée OTK, la demoiselle place son postérieur en équilibre sur l’un des genoux du fesseur. Ce dernier peut alors rabattre son autre jambe sur celles de sa partenaire, les enserrant et lui interdisant ainsi tout mouvement.
Cette position est préconisée dans le cas où la demoiselle se montrerait turbulente. Une fois positionnée, elle aura bien du mal à échapper à l’étreinte de celui qui la corrige !
Sur l’un des genoux du fesseur debout

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Dans cette troisième variation sur la fessée OTK, la demoiselle se trouve toujours en équilibre sur l’un des genoux du fesseur, mais est cette fois suspendue dans les airs. L’homme pose l’un de ses pieds au sol et l’autre sur une chaise ou tout autre objet permettant de surélever sa jambe, plaçant sa cuisse à l’horizontale, de manière à y faire reposer le bassin de sa partenaire.
Cette position est adaptée aux fessées rapides, impromptues (dans un lieu public par exemple). Elle permet en effet de mettre la demoiselle en position en l’espace d’un instant, et de la remettre sur ses pieds tout aussi rapidement. Un outil précieux lorsque le comportement d’une jeune femme impose qu’elle soit corrigée sur le champ !
Courbée sur un meuble

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La demoiselle, jambes tendues, courbe son buste sur une table, une chaise, ou tout autre élément mobilier de hauteur adéquate. Son dos et ses jambes doivent former un angle droit (ou approchant). L’homme se place soit derrière soit à côté de sa partenaire, en fonction de l’instrument utilisé et/ou de la configuration des lieux.
Cette position permet à l’homme de se tenir à distance de sa partenaire : elle est donc particulièrement adaptée aux fessées données au martinet, à la ceinture ou au paddle. Elle nécessite cependant une demoiselle coopérative, car le fesseur n’a que peu de moyens pour la maintenir en position.
Courbée sous le bras du fesseur

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L’homme saisit la demoiselle par le bassin, en lui tournant le dos, et la courbe sous l’un de ses bras. Il peut alors la maintenir fermement en place avec ce bras, tout en rougissant avec entrain son postérieur de sa main restée libre.
Tout comme la position “sur l’un des genoux du fesseur debout“, celle-ci est particulièrement adaptée aux fessées données sur le vif, sans préparation. Placer la demoiselle en position, la déculotter et lui administrer quelques claques sévères sur le fessier n’est, dans cette position, l’affaire que d’un instant… mais le souvenir de la fessée ainsi administrée durera beaucoup plus longtemps.
Mains aux genoux

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La demoiselle plie le bassin jusqu’à pouvoir saisir ses genoux avec ses mains, et se maintient dans cette position. Ses jambes peuvent être arquées afin de lui assurer un meilleur équilibre durant la correction et de mieux dégager son fessier (certains fesseurs exigent cependant que les jambes soient droites). L’homme se place soit derrière soit à côté de sa partenaire, en fonction de l’instrument utilisé et/ou de la configuration des lieux.
Cette position est parfaitement adaptée à l’usage d’un instrument. On notera cependant qu’elle est vite douloureuse pour la demoiselle, et donc difficile à maintenir : on évitera donc de la lui faire adopter trop longtemps. Elle est également assez douloureuse, en raison de la tension qui s’exerce sur le fessier. Elle est enfin assez humiliante, la demoiselle se trouvant exposée d’une manière parfaitement indécente…
Mains aux chevilles

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La femme plie le bassin jusqu’à pouvoir saisir ses chevilles avec ses mains, et se maintient dans cette position. Son dos doit rester droit et ses jambes tendues. L’homme se place soit derrière soit à côté de sa partenaire, en fonction de l’instrument utilisé et/ou de la configuration des lieux.
Cette position nécessite une grande souplesse de la part de la jeune femme : on la réservera donc aux danseuses et gymnastes désobéissantes. Elle est évidemment pénible à tenir, spécialement durant une punition : on veillera donc à ne pas y placer la demoiselle plus de quelques minutes. La tension exercée sur le fessier rend, par ailleurs, les fessées administrées dans cette position extrêmement douloureuses.
Debout

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La demoiselle se tient debout, jambes tendues et dos droit. Elle peut prendre appui sur un élément de mobilier si nécessaire. L’homme se place soit derrière soit à côté de sa partenaire, en fonction de l’instrument utilisé et/ou de la configuration des lieux.
Cette position est idéale pour les corrections rapides, puisqu’elle ne nécessite aucune préparation : le fesseur peut parfaitement se contenter de tenir la demoiselle par le bras ou l’épaule et d’administrer quelques sévères claques à son fessier.
Elle est parfaitement adaptée à l’usage d’un instrument, mais on veillera dans ce cas à fournir un point d’appui à la jeune femme.
À genoux

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La demoiselle se place à genoux sur l’assise d’une chaise ou d’un fauteuil, le haut de son corps reposant sur le dossier du siège. Elle peut se tenir légèrement courbée vers l’avant, afin de mettre son fessier en évidence, facilitant ainsi la tâche de la personne chargée de la corriger.
Cette position est parfaitement adaptée à l’usage d’un instrument. Pour éviter tout risque d’accident, on s’assurera cependant au préalable de la solidité et de la stabilité du siège : songez que la demoiselle risque de s’agiter durant la correction…
À quatre pattes

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La femme se met à quatre pattes, l’avant de son corps reposant soit sur ses mains soit sur ses coudes (cette dernière solution étant préférable car son fessier pointera alors vers le ciel). L’homme se place soit derrière soit à côté de sa partenaire, en fonction de l’instrument utilisé et/ou de la configuration des lieux.
Cette position n’est pas fatigante, et peut donc être adoptée par la demoiselle durant de longues périodes. Elle est parfaitement adaptée aux fessées avec instruments. Elle est de plus relativement humiliante, ce qui renforce l’efficacité de la punition.
À quatre pattes, sur les coudes / tête au sol

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Dans cette variante sur la position “à quatre pattes”, la demoiselle met son fessier en évidence en abaissant le haut de son corps. On peut lui demander de se tenir sur ses coudes plutôt que sur ses mains, ou même de faire en sorte que sa tête soit au même niveau que ses genoux.
Si l’on veut faire adopter cette position à une demoiselle, il est recommandé de la placer sur un lit ou un canapé. Elle est adaptée aussi bien aux fessées manuelles qu’aux fessées avec instruments. Elle est très humiliante pour la demoiselle, contrainte d’exhiber son postérieur.
Allongée sur le ventre

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Cette position est plus particulièrement adaptée à des fessées données sur un lit ou sur un canapé. La femme s’allonge sur le ventre. Un coussin ou un oreiller peuvent être placés sous son bassin afin que son fessier pointe vers le ciel. L’homme se place soit derrière soit à côté de sa partenaire, en fonction de l’instrument utilisé et/ou de la configuration des lieux.
Il s’agit là encore d’une position facile à conserver pour la demoiselle : confortablement installée, elle peut se concentrer entièrement sur la correction reçue. Cette position est spécialement adaptée aux fessées au martinet : l’homme peut se positionner sur le côté de la demoiselle et abattre fermement les lanières, de manière verticale.
Allongée sur le dos (“diaper position“)

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Il s’agit de la position désignée par nos amis anglophones sous le nom “diaper style” (ce que l’on pourrait traduire par “style table-à-langer“).
La femme s’allonge sur le dos et monte ses jambes jusqu’à créer un angle à 120° environ. Elle peut pour cela agripper ses cuisses et les rapprocher de son ventre, ce qui lui permettra également de maintenir ses jambes jointes. On peut placer un coussin au niveau du bas de son dos afin de l’aider à maintenir cette position, et mettre davantage en évidence son fessier. L’homme se place soit derrière soit à côté de sa partenaire, en fonction de l’instrument utilisé et/ou de la configuration des lieux. Il peut l’aider à conserver cette position (qu’elle aura généralement tendance à perdre dés le début de la correction) en saisissant ses jambes d’une main tandis qu’il frappe son fessier de l’autre.
Il s’agit d’une position extrêmement humiliante pour une jeune femme, non seulement parce que les parties intimes de la demoiselle se trouvent exhibées mais aussi en raison de la coloration infantile de cette posture (ce n’est pas pour rien que l’on parle de “diaper position“). Elle nécessite la pleine coopération de la jeune femme, puisque c’est à elle qu’il reviendra de maintenir ses jambes en l’air (même si l’homme peut l’y aider). Cette posture est de plus très douloureuse, en raison de la tension exercée sur le fessier. Une position idéale pour remettre à sa place une jeune femme insolente !
Penchons-nous pour terminer sur deux positions plus “exotiques”…
La position dite “du petit pont”

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La demoiselle se plie en deux, créant un angle droit entre le haut et le bas de son corps. Ses pieds et ses mains reposent sur le sol. L’homme se place soit derrière soit à côté de sa partenaire, en fonction de l’instrument utilisé et/ou de la configuration des lieux.
Cette position plutôt acrobatique ne saurait être imposée qu’à une demoiselle très souple. Elle est évidemment très difficile à conserver, surtout durant une punition, et on n’obligera pas la demoiselle à l’adopter plus de quelques minutes. Extrêmement embarrassante (la demoiselle exhibe là encore ses parties intimes), cette posture est également douloureuse, en raison de la tension exercée sur le fessier.
Elle est adaptée aussi bien aux fessées manuelles qu’aux fessées avec instruments, mais il conviendra de bien doser la sévérité des coups donnés.
La position dite “de la brouette”

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La demoiselle tourne le dos au fesseur et fait reposer son fessier sur les cuisses de son partenaire. Ses jambes sont écartées, reposant chacune d’un côté du bassin de l’homme. Le haut de son corps reposant dans le vide, elle est contrainte de se tenir sur les mains. Son fessier pointe alors vers le ciel, à portée immédiate de la main du fesseur.
Cette posture est (est-il besoin de le dire ?) excessivement humiliante pour la jeune femme, ses parties intimes étant alors entièrement offertes à la personne chargée de la corriger, sans qu’elle soit en mesure de faire quoi que ce soit, puisque ses mains sont occupées.
On est tout à fait en droit de trouver cette position quelque peu ridicule et de se refuser à l’employer, tout du moins dans un cadre punitif. Bien utilisée, elle peut cependant avoir un effet extrêmement marquant sur une demoiselle…
Conclusion
Cette liste ne prétend évidemment pas à l’exhaustivité : dans le domaine des positions pour une fessée, les seules limites sont l’imagination du fesseur et la sécurité de la demoiselle (cette dernière passant bien évidemment avant toute autre considération).
Nous espérons seulement que ce petit panorama permettra aux novices de découvrir l’étendue des possibilités qui s’offrent à eux et, qui sait, qu’il donnera aux fesseurs chevronnés quelques nouvelles idées.
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