Les instruments pour une fessée

Les instruments pour une fessée

Ayant examiné la liste des positions les plus utilisées pour donner une fessée, nous allons à présent nous pencher sur la gamme des instruments avec lesquels cette dernière peut être administrée. Outre une description de chacun de ces instruments et des conseils relatifs à leur utilisation, nous proposerons une évaluation fondée sur trois critères :

  • La technicité correspond à la difficulté qu’il y a à maîtriser l’instrument, et donc la prudence avec laquelle il convient de le manier.
  • Le bruit correspond au volume sonore généré par une fessée administrée à l’aide de cet instrument.
  • Les marques correspondent à la propension qu’a cet instrument à laisser des marques durables (visibles plusieurs heures après la fessée).

On notera que nous avons choisi de ne pas donner d’indications sur la douleur générée par les différents instruments. Deux bonnes raisons à cela :

1.  Deux instruments d’un même type peuvent avoir un impact radicalement différent. Nous évoquerons ces différences au fil de l’article.

2.  La douleur générée par un instrument dépend, avant toute chose, de la manière dont on l’utilise.

Sans plus tarder, entrons dans le vif du sujet !

La main

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Comment commencer ce panorama sans mentionner le plus traditionnel des “instruments” de correction ? 

La main est l’outil disciplinaire par excellence, et il est parfaitement envisageable de ne jamais en utiliser d’autres. Ses avantages sont multiples : toujours à disposition, elle offre un contact direct avec la demoiselle punie et permet toutes les variations d’intensité, de la plus tendre des caresse à la plus cinglante des claques. 

Ajoutons qu’une fessée à la main peut être tout aussi sévère qu’une fessée donnée à l’aide d’un instrument. Maintes demoiselles pourraient en témoigner…

Après cette entrée en matière, passons à l’examen des instruments proprement dits. Nous commencerons par évoquer les trois instruments les plus utilisés, les grands classiques.

Le martinet

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Sorte de fouet doté de multiples lanières (typiquement entre 10 et 25), le martinet est l’instrument punitif français par excellence (les anglophones parlent d’ailleurs de “french martinet“).

Chez nous cet instrument a une connotation régressive, puisqu’il servait traditionnellement à corriger les enfants. Une jeune femme qui reçoit le martinet (surtout si c’est un martinet “traditionnel”) n’aura aucun mal à se sentir punie comme une petite fille.

Les sensations qu’il procure sont extrêmement variables, en fonction notamment de la matière dont l’instrument est constitué. Des lanières de laine de coton, de chamois, de daim ou de nylon produisent des sensations très légères : elles sont donc adaptées aux fessées érotiques ou aux fesseurs inexpérimentés. Un martinet aux lanières de cuir d’élan ou de cuir suédé cinglera en revanche bien davantage, ce qui le réservera aux fessées disciplinaires et aux hommes expérimentés dans le maniement du fouet.

À matériau égal, les lanières fines cinglent, tandis que les lanières larges provoquent une sensation sourde. On préfèrera généralement les lanières aux bords arrondis aux lanières à bords droits. On s’assurera en tous cas qu’ils ne soient pas coupants, afin de ne pas risquer de blesser sa partenaire.

Le martinet n’est pas un instrument évident à manier, et il est impératif de s’entraîner avant de l’administrer à une demoiselle. Deux remarques à ce propos :

  • Plus les lanières sont longues, plus leur contrôle est difficile.
  • Les manches courts permettent un meilleur contrôle, tandis que les manches longs assurent un bras de levier plus important et propulsent les lanières avec plus d’énergie.

Le paddle

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Le paddle est un battoir constitué d’un manche assez court et d’une plaque avec laquelle on porte les coups sur le fessier de la jeune femme.

Si le paddle traditionnel est en bois, on en trouve aujourd’hui de toutes les matières : cuir, plastique, lexan… Certains ont une forme et une dimension proches de celles d’une brosse à cheveux ou d’une raquette de ping-pong ; d’autres, inspirés du modèle utilisé autrefois dans les écoles anglaises, sont beaucoup plus imposants.

Plus le paddle est grand plus la résistance de l’air sera importante lorsque le fesseur l’abattra sur le fessier de la demoiselle : les paddles de petite dimension sont donc généralement plus sévères que les grands. Pour lutter contre ce phénomène physique, certains paddles sont percés de trous ; ces instruments sont alors d’une efficacité redoutable. 

Le fait que la paddle frappe une zone relativement étendue en fait un instrument peu dangereux mais très intense : il est bien souvent redouté des demoiselles, ce qui le rend adapté aux punitions sévères. Il ne coupe pas la peau mais peut facilement laisser des marques, des bleus dès lors qu’il est utilisé de manière un peu intense. 

La ceinture

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Si elles existent en une variété de matériaux, ce sont les ceintures en cuir qui sont les plus adaptées à la correction des demoiselles. Lors d’une fessée à la ceinture, on plie cette dernière en deux : cela permet d’assurer au fesseur un meilleur contrôle tout en renforçant la puissance de l’impact.

La ceinture est très connotée “discipline domestique“, ce qui en fait un instrument très populaire. Un homme qui retire sa ceinture pour administrer une bonne correction à une demoiselle affirme clairement son autorité masculine. Bien des jeunes femmes apprécient de se sentir prises en main de cette manière…

La ceinture est un instrument très sévère, qu’il convient de manier avec la plus grande prudence. Il est impératif de s’entraîner sérieusement avant de songer à l’administrer à une jeune femme. On pourra par exemple pratiquer sur un oreiller, en décidant de l’endroit précis que l’on veut atteindre et en s’entraînant jusqu’à ce qu’on y parvienne à chaque fois.

Il est fréquent de demander à la demoiselle de compter les coups de ceinture qui lui sont administrés. Outre l’aspect humiliant de cette tâche, cela permet de s’assurer qu’elle va bien et est prête à recevoir le coup suivant.

Penchons-nous à présent sur les autres instruments disciplinaires. Nous les présenterons ici par ordre alphabétique.

La badine

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La badine est une baguette de bois fine et flexible, assez longue, traditionnellement utilisée pour les châtiments corporels. Il peut s’agir d’une simple branche d’arbuste, de noisetier ou de saule par exemple. 

L’avantage évident de cet instrument est la facilité avec laquelle on peut se le procurer, pour peu que l’on ait accès à un jardin, un parc ou tout autre espace boisé. On veillera naturellement à demander à la demoiselle d’aller elle-même couper et préparer l’instrument qui servira à la corriger…

Le battoir à tapis

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Un ustensile qui nous vient d’Italie, où sa légèreté, sa prise en main facile, et (bien sûr) son usage domestique, en ont fait l’instrument de prédilection des mamma. Il a, pour cette raison, longtemps été considéré comme un instrument féminin.

Traditionnellement fabriqué en osier, c’est en quelque sorte une version plus légère du paddle. On aurait cependant tort de croire cet instrument inoffensif : une fessée au battoir à tapis peut être tout à fait sévère et laisser un cuisant souvenir à la demoiselle. 

La brosse à cheveux

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Tout comme le battoir, la brosse est, traditionnellement, un instrument de correction féminin, utilisé par les mères pour punir leurs enfants. Rien n’empêche cependant un homme de l’utiliser pour punir sa compagne, en utilisant la brosse à cheveux de cette dernière.

Il s’agit là encore d’une variation sur le thème du paddle, qui présente l’avantage d’être disponible partout et de passer parfaitement inaperçue ; pratique pour les corrections impromptues en dehors du foyer, lors des voyages par exemple.

Deux choses à noter cependant :

  • Une fessée à la brosse aura tendance à être très bruyante, plus bruyante encore qu’une fessée à la main.
  • La zone d’impact de la brosse étant plus restreinte que celle du paddle, la brosse aura davantage tendance à laisser des marques très visibles sur le fessier de la demoiselle.

La brosse de bain

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Se distinguant de la brosse à cheveux par son manche plus long (de 20 à 40 cm sur la plupart des modèles), la brosse de bain se rapproche davantage d’un paddle relativement léger. 

Comme les autres objets du quotidien détournés de leur fonction première qui figurent dans cette liste, elle présente l’avantage de pouvoir être achetée dans n’importe quelle grande surface et de passer parfaitement inaperçue dans une salle de bain.

La canne

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La canne est traditionnellement fabriquée en rotin, mais on en trouve également en bambou ou en roseau. Elle mesure ordinairement entre 1 mètre et 1,20 mètre. Très connotée “éducation anglaise“, tout comme le paddle, elle est relativement peu utilisée par chez nous.

Une fessée à la canne est généralement administrée sur les fesses nues. Assurez-vous que vous disposez de suffisamment d’espace autour de vous pour l’élan du coup. Le mouvement du poignet est important compte tenu de l’énergie cinétique causée par la flexibilité de la canne. Si l’extrémité de la canne n’entre pas en contact direct avec le fessier de la demoiselle, elle s’enroulera et risquera de la blesser : il est donc essentiel que le bout de la canne atterrisse sur la partie ciblée.

Lors d’une fessée à la canne, la sensation est en général double : l’impact initial provoque une douleur aigüe due à la compression du muscle, puis l’expansion du muscle irradie cette douleur sur une surface plus étendue. Pour cette raison, il est préférable d’attendre 30 à 45 secondes entre chaque coup.

La cravache

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La cravache traditionnelle mesure 60 cm environ. Elle est fabriquée dans un matériel flexible, comme la fibre de verre, et est ornée d’une claquette en cuir mesurant environ 5 centimètres de long sur 3 de large. Cette claquette est soit une boucle en cuir soit deux pattes en cuir superposées . Lors de l’impact c’est le choc entre les deux épaisseurs de cuir qui produit la sensation et le son si caractéristique.

Une fessée à la cravache est généralement administrée sur les fesses nues. On ne doit pas frapper sa partenaire avec le corps de la cravache : seule la claquette doit entrer en contact avec son fessier. Plus le mouvement sera limité à une flexion sèche du poignet, plus celui-ci sera précis. Trouver la distance idéale et maîtriser ce mouvement implique bien évidemment de s’entraîner avant de donner la cravache à une demoiselle.

La cuillère

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C’est bien évidemment de grande cuillères en bois qu’il est ici question. Pour rester dans la série des ustensiles culinaires, notons que les spatules peuvent également convenir. 

Les avantages les plus évidents de cet instrument sont sa disponibilité et sa discrétion : nul ne s’étonnera de trouver une cuillère de ce type dans une maison. Cependant, assez peu adapté à un usage punitif, il risque de causer des bleus. 

La règle

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Souvent utilisée par les enseignants comme instrument de punition par le passé, la règle produit un effet similaire à celui d’un paddle de bois fin, sans être aussi douloureuse que ce dernier. Les règles en plastique sont trop légères et risquent de casser, et les règles en métal sont inadaptées : ne restent donc que les bonnes vieilles règles en bois.

En raison de son faible poids, une fessée à la règle sera presque toujours donnée sur les fesses nues. On veillera à maintenir l’instrument parfaitement à plat au moment de l’impact, faute de quoi on risquerait de créer des contusions à l’endroit où atterrit la tranche.

La strap

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La strap est un instrument flexible, généralement en cuir, composé d’un manche court et d’une lanière de 30 à 40 cm environ. On peut la considérer comme une variante de la ceinture, dans une version plus courte et plus légère, ce qui la rend plus facile à manier.

En raison des dimensions réduites de l’instrument, diverses positions sont envisageables pour une correction à la strap : la jeune fille peut être placée soit sur les genoux du fesseur, soit debout, soit courbée… Plus la distance entre le fesseur et la jeune femme est important, plus les coups pourront être appuyés, en raison de l’élan donné à l’instrument : tout dépend donc de la sévérité de la correction envisagée.

La tawse

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Un instrument qui nous vient d’Écosse, où il a longtemps été utilisé dans des contextes conjugaux, éducatifs et judiciaires. Il s’agit d’un morceau de cuir taillé en forme de paddle  et dont la partie destinée à frapper le fessier est fendue en deux ou trois.

Cet instrument est réputé plutôt douloureux. Lors d’une fessée à la tawse, la jeune femme se tient ordinairement debout et penchée en avant, les fesses nues, bien que d’autres positions soient tout à fait envisageables.

Les verges

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Les verges sont un ensemble de fines branches de bouleau enfagottées. Jusqu’au XIXe siècle, elles étaient l’instrument punitif le plus utilisé en Europe.

Les verges ne sont douloureuses que si on les applique à un fessier nu. Même une fine couche de vêtement absorbe la plus grosse part de leur effet, car prise individuellement chaque verge est fine et légère. La douleur produite par cet instrument est tout d’abord étonnamment légère, mais elle augmente de manière cumulative avec le nombre de coups. Les verges laissent un enchevêtrement de fines lignes rouges sur la peau, qui peuvent sembler impressionnantes mais qui disparaissent en quelques heures.

Le bouleau est le seul arbre dont les branches soient assez fines et flexibles pour cet usage. Les verges doivent être préparées peu de temps avant la correction (elles doivent avoir été coupées le jour même). Quand les branches sèchent, elles deviennent en effet cassantes, et perdent leur flexibilité. Sachez également que la pièce dans laquelle la fessée a eu lieu aura besoin d’être nettoyée après la correction pour ramasser tous les petits morceaux de bois qui se seront séparés du reste de l’instrument.

Conclusion

Quel que soit l’instrument utilisé, la règle d’or est d’assurer la sécurité de sa partenaire. Pour ce faire, rien de tel que le dialogue (avant, pendant et après la fessée) et l’entraînement, qui seul permet d’éliminer (ou tout du moins de réduire considérablement) le risque de coup maladroit. Corriger une demoiselle est une responsabilité importante, dont on doit se montrer digne par une attention de tous les instants.

 

38 commentaires

  1. Et voilà ! 🙂 Comme pour l’article sur les positions pour une fessée, j’attends vos remarques et suggestions pour amender ou compléter cet article. N’hésitez pas à me dire si vous n’êtes pas d’accord avec le nombre d’étoiles attribués à tel ou tel item : tout cela évoluera en fonction de vos retours.

  2. Mouahaha pour la technicité, je peux difficilement la ramener donc je me tairai sur ce point :p (quoique, pour avoir déjà donné, je trouve en effet que le martinet demande un minimum de dextérité :D)
    Par contre, la badine… j’en ai des souvenirs cuisants et bien marquants… :'(

  3. Merci Monsieur No pour ces excellentes descriptions à propos des instruments de punitions.

  4. Une seule étoile pour les marques du tawse ? On doit pas avoir les mêmes !!!
    Moi pour les marques, j’aurais tendance à dire que comme pour la douleur ça dépend de l’instrument en lui même, de la manière dont il est utilisé (intensité, force, avec ou sans préchauffage…) et de la peau de la demoiselle ?

  5. D’accord avec @lunapower ! La tawse est un instrument redoutable, bien plus sévère que la simple ceinture, car l’effet des bords de la ceinture est multiplié par deux ou par trois (en fonction du nombre de “bandes”). Donc autant de chances de plus d’avoir des marques., les bleus naissant (en tous cas chez moi) du bout ou de la tranche de l’instrument. Je marque peu (voire très peu 🙁 ) Les traces les plus tenaces que j’ai pu avoir étaient faites par la tawse. Je mettrais deux ou trois étoiles supplémentaires pour les marques.

    Pour le bruit en revanche, la tawse est plus discrète que la strap, pour les mêmes raisons : la surface d’impact est morcelée donc le bruit est moins fort. Je mettrais une étoile de moins.

    Quant aux verges, je trouve qu’il n’y a rien de plus silencieux (si ce ne sont les orties, qui manquent à l’appel, tiens) 🙂 Le boulot, c’est sans doute le nec plus ultra (jamais trouvé pour le moment). Mais j’ai eu l’occasion de tester des verges de noisetier et de saule. Ca marche aussi plutôt bien. Faut bien les préparer avant pour retirer les petites aspérités (ou non) qui peuvent être un rien agressives 😉

  6. ben oui @fraise!! Puis il y a aussi l’épaisseur, il y en a des bien plus épais qu’une ceinture!!!

  7. Merci pour votre article. Mon fiancé l’a lu et grâce à vous j’ai reçu une sévère fessée avec ma brosse à cheveux… Je vous déteste.

  8. La tawse demande un peu de pratique mais ça rend bien des services.
    Avantage non négligeable : ça impressionne la chipie.

  9. TOUT marque, croyez-moi ! À part, comme le dit Fraise, les orties, qui ont donc ma préférence pour cette raison uniquement. Une main peut laisser des traces durant plusieurs jours… Cela dépend de la main et de la peau de l’innocence victime !
    La question que je me pose encore, et pour laquelle, fatalement, il est difficile d’avoir une réponse car chacun(e) n’habite en définitive que son propre corps et ne peut ressentir la douleur de son voisin, ou sa voisine est de savoir si on a plus mal si on marque plus. Au quel cas, je suis une martyre au service de la science !!

  10. La punition aux orties!
    Fraise et Huyana m’ont toutes les deux donné l’impression de ne pas détester les orties. Et je dois dire que moi aussi j’ai un certain penchant pour donner une fessée avec des orties. D’abord parce que les orties sont des herbes de saison ce qui rajoute du piment à la chose. La pousse de printemps est la meilleure. La repousse d’automne reste quand même efficace. Mais peu d’orties l’été, elles sont en fleur dès la fin du printemps et deviennent plutôt inefficace (piquent peu) et souvent rabougries dès les chaleurs et le manque d’eau. Et évidement rien en hivers!
    Ensuite parce que c’est tout un jeu de demander à sa partenaire d’aller cueillir elle-même l’instrument de son supplice , de lui demander d’effeuiller elle-même les feuilles de la tige qui sera de 30 à 50 cm selon les goûts pour ne conserver qu’une touffe des plus jeunes pousses en son sommet. Il faudra d’ailleurs une certaine dextérité et technicité à la demoiselle ou à la dame pour cette préparation sans se piquer les doigts.
    Soit la fessée aura lieu immédiatement in situ, soit le bouquet sera rapporté à la maison (dans ce cas les plonger toutes entières dans un récipient rempli d’eau car les orties coupées faneront trop rapidement).
    Pour une fessée un peu plus sévère, je conseille de préparer plusieurs bouquet de trois ou quatre tiges qui serviront successivement et non un gros bouquet dont l’efficacité sera moindre et surtout d’un maniement moins précis.
    La fessée, qui sera vive, voir très vive sera également relativement éphémère. Une sensation sourde de fourmillement et de picotement aigu pendant quelques minutes (le seuil de douleur varie fortement selon les personnes et l’habitude qui crée une sorte de mithridatisation). Puis l’intensité de la peau en feu diminuera rapidement (un petit quart d’heure au plus) pour se transformer en une vibration plus lente et franchement agréable dans les heures qui suivront. Un massage à onguent favori apaisera selon la demande et les rapports entre partenaire.
    La fessée aux orties est un jeu bien psychologique où se joue une appréhension légitime, mais qui s’avère souvent bien pus terrible que son résultat. Et puis si il peu y avoir sourde intensité, la sensation la plus forte sera brève. Tout passe si vite. Jamais de blessures et quelques cloques et boursouflures rapidement disparues.
    Un intérêt supplémentaire est que le mince bouquet atteint des zones habituellement plus préservées lorsque par exemple le feuillage s’immisce légèrement dans la raie des fesses, voir jusqu’au abord de l’anus pour les partenaires les adeptes de ces sensations.
    Maintenant il y a de fortes réticences chez certaines personnes, dont ma partenaire habituelle. Respect mais dommage! Osez la fessée aux orties.

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