Il était une fois
J’étais comme un con… non pas Place de la Concorde, comme le chantait Nougaro, et il ne pleuvait pas. Mais c’était tout comme dans ma tête, malgré le chaud soleil.
La jolie fille était assise en tailleur sur son lit, dans sa chambre de jeune fille, entourée de ses peluches, en en triturant une, un gros nounours rose, entre ses mains fines. Je me demandai ce que je foutais là !
À force de plaisanter et de raconter des âneries, de fil en aiguille, m’ennuyant dans cet endroit où je bossais de façon intermittente, j’avais fini par lui dire : « Qu’est ce qu’on s’emmerde ici… Je ferais n’importe quoi… même aller faire le ménage chez vous ! »
Elle avait juste répondu ce jour là que « Pourquoi pas, mon appart est juste à côté ! » en rigolant.
C’était il y a quinze jours et aujourd’hui, il n’y avait vraiment rien à faire et c’est elle qui m’avait secoué : « Alors, ce ménage, vous venez le faire quand dans ma chambre ? »
Depuis le temps que je reluquais son joli petit cul enserré dans son jean, avait-elle remarqué que j’aurais bien plaqué mes deux mains de façon répétée et en cadence sur ses formes arrondies ? Du haut de ses vingt ans à peine révolus, elle semblait être un adorable mélange de jeune fille délurée, comme je les aime, et de femme déjà aguerrie à certains jeux.
J’avais tilté dès les premiers jours de ma présence dans ce lieu de travail sur la belle image ornant le casier de son vestiaire, un flyer pour une soirée dans une boîte de nuit locale sur le thème de « 5 nuances de….etc ». La date de cette soirée remontait à plusieurs mois, et je ne m’étais pas encore permis d’aborder ce sujet avec elle… mais c’était presque un appel au peuple et tellement tentant !
Il ne pleuvait donc pas, et même une grosse chaleur envahissait la chambre de cette adorable jeune fille assise devant moi et me regardant droit dans les yeux alors qu’elle caressait son nounours rose. Il n’y avait donc rien à faire et nous avions bu quelques cafés avant de décider, puisqu’elle en avait émis le désir, que j’aille faire l’état des lieux de sa chambre pour un ménage en bonne et due forme. Il était temps que j’intervienne, rompant enfin ce silence aveuglant.
« Bon, en effet, c’est un sacré merdier dans votre chambre ! Il est temps d’y mettre bon ordre… et d’abord toutes ces fringues par terre…vous avez une commode là…vous ne pouvez pas les ranger dans les tiroirs ? »
J’attrapai quelques vêtements gisant au sol et ouvris le premier tiroir de la dite commode, ce qui occasionna un bond hors de son lit de la jeune fille…
« Non, pas celui là….! »
Trop tard, j’avais vu le joli petit godemiché à peine planqué sous deux culottes en dentelle !
« Ah ben bravo….vous portez toujours ce genre de culotte ? Et cet objet, vous vous en servez souvent ? »
La fille m’arracha l’objet des mains, rouge comme une pivoine, agacée, et par énervement, mettant le doigt sur le petit bouton elle déclencha le ronron et les vibrations de l’engin…
« Je vois que vous maitrisez fort bien ce genre d’objet ! »
La suite s’annonçait chaude… il me fallait juste trouver une idée pour punir son cul…
Elle retourna s’assoir sur son lit, après avoir stoppé les vibrations de l’objet, le gardant cependant précieusement au creux de sa main , tout en triturant la tête de son nounours de l’autre main. Je la regardai intensément, laissant le silence gênant s’installer. Puis :
« Vous n’avez pas répondu à mes questions….
– Ouais, bon ben allez y…
– Hum… par exemple…aujourd’hui, vous portez une petite culotte en dentelle ?
– Ben qu’est ce ça peut vous faire….
– Je demande, c’est tout, et j’ai envie de savoir !
– Ben, je ne sais plus !
– Vous voulez que je regarde moi-même ?
– Non, mais ça va pas….vous veniez pour m’aider à ranger ma chambre et….
– Ca suffit ! »
J’avais nettement haussé le ton… et ses joues étaient rouge cramoisi… Je poursuivis :
« Nous savons très bien vous et moi ce dont vous avez besoin…
– Ah ouais ?
– Oui… Je pense qu’une bonne petite fessée vous ferait du bien…
– Non mais ça va pas la tête ? »
La jeune fille semblait furieuse… ou alors elle jouait son rôle… Elle se leva de son lit, lâchant nounours et vibromasseur et se dirigea vers la porte. Je la chopai par le poignet et dis le plus doucement possible :
« Vous allez vous calmer et retourner vous assoir sur le lit… et vite… ! »
Elle me toisa du regard et, secouant son bras pour que je le lâche retourna sagement s’assoir en tailleur sur son lit.
« Pfou, vous n’êtes pas drôle. Je trouvais ça rigolo que vous veniez ici pour…
– Silence, c’est moi qui parle ! »
Je me levai et me dirigeai de nouveau vers la commode, ouvrant le tiroir visité quelques instants plus tôt, et sortant l’autre objet que j’avais entrevu, un petit martinet bien léger et très inoffensif. Je m’en saisis et me tournais vers elle.
« Et ça, c’est pour quoi faire ?
– Rhoo, c’est juste pour jouer… »
Cette fois elle ne soutint pas mon regard.
« Parfait, alors nous allons jouer ! »
Je m’avançai vers la fenêtre et l’ouvrit en grand. De cette fenêtre du douzième étage de la tour qu’elle habitait, on voyait en contrebas le petit square de la résidence, et quelques enfants qui y jouaient, dont les piaillements arrivaient très faiblement à mes oreilles. Je me dis que le son devait circuler aussi faiblement dans l’autre sens.
« Levez vous et venez ici… Là, mettez vous devant la fenêtre et posez vos bras là…oui, comme ça. »
Elle s’exécuta sans broncher.
« Donc, nous sommes d’accord, vous aimez être fessée, et, en plus, je vous trouve très arrogante depuis tout à l’heure. Même si je ne suis qu’intermittent, je vous rappelle que je suis dans ces moments toujours votre patron ! »
Tournant un drôle de visage vers moi, installée debout contre la fenêtre ouverte, elle proféra une sorte de protestation qui se voulait plutôt être une acceptation.
Je posai le petit martinet sur son lit, et m’approchai d’elle.
« Ne bougez plus. Regardez par la fenêtre et… racontez moi l’histoire de ce flyer collé sur la porte de votre vestiaire… »
Elle me surprit, commençant à s’exprimer doucement et calmement, respirant l’air chaud qui s’infiltrait par la fenêtre, et semblant trouver plaisir à me raconter des éléments de plus en plus intimes de sa vie.
« C’est un copain que j’avais avant. Je ne le vois plus. Un soir il m’a emmenée dans cette boîte. Je ne savais pas. C’était sur ce thème là. Il y avait plein de gens déguisés…
– Déguisés comment ?
– Ben sur ce thème… Un peu SM quoi… Hummmm… ! »
Elle s’interrompit, car je venais de poser doucement mes deux mains sur ses fesses à travers son jean. Je les trouvais fermes à ravir, le tissu était doux sous mes paumes et l’envie de les claquer devint plus que forte, mais je me contentai à ce moment de les masser lentement, histoire de les préparer à un traitement plus agressif.
« Poursuivez ma belle Sabrina, votre récit m’intéresse… Donc, déguisés comment tous ces gens ? En SM ?
– Ben oui quoi… des filles avec des cordes ou avec un masque, des mecs avec des martinets ou des fouets, et… Hummm… ! »
J’avais un peu accentué mon massage et maintenant elle répondait en venant à la rencontre de mes mains, son souffle s’accélérant doucement. Ca devenait très excitant.
« Poursuivez… Je sens bien que ça vous excite de me parler de ça…
– Ouiiii… Il y a eu un petit spectacle… Une fille s’est faite fesser et fouetter par un, puis trois mecs. Elle avait l’air d’aimer ça…
– Et vous ?
– Moi ? Je n’avais jamais joué à ça avant, mais j’ai trouvé ça génial… de regarder…
– Et ensuite ?
– Mon copain m’a ramenée en voiture… on avait un peu bu… enfin surtout moi… j’ai pas l’habitude… et… il s’est arrêté sur un parking. Il faisait noir et il n’y avait personne. Il m’a demandé si je voulais…
– Si vous vouliez quoi ?
– Ben qu’on fasse pareil… Il m’a demandé de sortir de la voiture et de me mettre sur le capot. J’avais un peu peur mais il n’y avait personne… je me suis mise à plat ventre… le capot était très chaud… ça m’a fait du bien…
– Il a fait quoi ?
– Ben il a remonté ma robe sur mes fesses et…
– Oui… racontez moi tous les détails…
– Ben il m’a fessée, comme ça… »
Elle interrompit son récit quelques instants, car, moi aussi, je commençais à la fesser. Doucement, claquant le tissu de son jean de chaque côté, sans forcer, lui laissant le soin d’apprécier chaque coup pendant quelques secondes avant d’en appliquer un autre.
« Continuez de me raconter.
– Il m’a donné plein de claques sur les fesses… mais bien plus fort que vous.
– Ne vous inquiétez pas, ça va venir.
– Hum… ouiiii.
– Qu’avez vous ressenti quand il vous a fessée ?
– J’ai adoré… c’était la première fois… »
Je continuai à la fesser, toujours à travers son pantalon, mais en accélérant progressivement.
« Vous rêviez de ça avant ?
– … aïe… »
J’avais claqué encore un peu plus fort.
« Répondez… Vous vous étiez caressée avant en pensant à ça… ? Et baissez votre jean maintenant ! »
Elle obéit, baissant doucement son pantalon, dévoilant la moitié de ses fesses, et me laissant voir un minuscule string. Je compris pourquoi j’avais une telle excitation à la fesser à travers le tissu si mince. Elle poursuivit :
« Oui, ça m’était arrivé.
– Arrivé de quoi ?
– Ben… aïe… de comme vous avez dit.
– Répétez le moi.
– De… me caresser comme ça… en y pensant… un peu… aïe… ! »
J’avais commencé à claquer ses fesses presque nues qui rosissaient tranquillement sous mes mains, et elle se tortillait quelque peu, gardant cependant ses deux mains agrippées sur le haut de son jean, arrivé maintenant à mi-cuisse.
« Ensuite ? Que s’est-il passé ?
– Il… Il a baissé ma culotte et m’a frappée encore plus fort… Ouiiii… comme vous le faites maintenant… Il grognait et j’ai… aïeuuuu… j’ai commencé à crier un peu… Il a mis une main sur ma bouche et m’a fessée d’une seule main mais très fort.
– Et vous avez aimé ça, je suppose, comme une sale petite gamine que vous êtes…
– Ouiiiii… il a mis son doigt dans mon… ma… enfin…
– Continuez et donnez moi des détails… laissez tomber ce pantalon et baissez votre culotte maintenant… »
Ses fesses étaient déjà devenues bien plus rouges lorsque son jean tomba à ses chevilles et que de ses mains moites, elle fit glisser son string sur le haut de ses cuisses entre deux salves de claques.
« J’étais toute mouillée… Il… m’a vite fait retourner sur le capot de la voiture… il a ouvert sa braguette et a sorti son engin… et on a fait l’amour comme ça…
– Et vous avez joui, je suppose…
– Oh oui…
– Venez vous mettre sur le lit…
– Non… je ne veux pas faire l’amour avec vous !
– Venez là, espèce de sale gosse… je vais juste finir de vous donnez la correction que vous méritez…. ! »
Les chevilles empêtrées dans son jean et son string, je dus la brusquer un peu pour la jeter sur le lit à plat ventre. Ses fesses bien rouges étaient très excitantes, et je m’installai à genoux, de part et d’autre de ses jambes, pour les immobiliser, commençant à la frapper bien plus fort cette fois, lui arrachant quelques jolis petits cris. Ses deux mains se débattaient dans son dos, essayant de se protéger, mais je continuai la punition un long moment. La sueur dégoulinait sur le bas de son dos que je voyais après avoir un peu remonté son chemisier. Maintenant elle se débattait beaucoup plus, me suppliant d’arrêter.
« Arrêtez de vous débattre. Je vais vous donner une dernière dizaine de claques que vous allez compter, et laissez moi faire, sinon je défais ma ceinture et je vous fesse avec…
– Oh non… pas ça…
– Alors laissez mes mains finir le travail ! »
Elle compta lentement la dernière salve de claques, repliant ses jambes à chaque fois sous la violence des coups que je lui portais, en reniflant.
J’étais moi aussi trempé de sueur, mais content du résultat. Le spectacle valait vraiment la peine, même si mes mains commençaient elles aussi à dire stop !
J’hésitai un instant, apercevant le vibromasseur et le petit martinet posés sur le bord du lit, me demandant si j’allais utiliser l’un ou l’autre voire les deux, mais c’eût été déplacé, pour une première fois. Je me levai et vint m’assoir sur le lit à côté de son visage, le tournant doucement vers moi. Elle avait les yeux remplis de larmes. Je caressai lentement ses cheveux.
« Ca va ?
– Oui, snif… c’était très bien…
– Je vais vous laisser… si vous voulez vous caresser, n’hésitez pas… mais attendez que je m’en aille, et…
– Oui ?
– Demain matin, arrivez de bonne heure au boulot… et rendez vous à la machine à café, devant la porte de votre vestiaire… vous me montrerez vos fesses que je regarde les traces… ! »
Je ne lui laissai pas le temps le répondre, sortant rapidement de sa chambre, en me massant les mains, mais sans oublier de jeter un dernier regard sur ce corps svelte à moitié dénudé, sur ces longues jambes fines entravées aux chevilles et ce joli petit cul rebondi que je venais de châtier.
Elodie
Ça sent le vécu
Ça me plaît bien ce contexte..
Bravo
anatole
Hélas non..ce n’est pas du vécu, mais du simple fantasmé….Cela dit, quelques années plus tard, vu que ce récit ne date pas d’hier, comme je recroise encore régulièrement cette jeune secrétaire, et pas plus tard que ce matin….à chaque fois que je la vois je me dis que….mais bon les relations entre patron et employée, ça ne se fait pas….
Camille 92
Faire l’amour sur le capot chaud d’une voiture 🙂