Une visite chez son tuteur …

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  • #32354
    LeClaqueFesses
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    Tu es la devant la porte, encore hésitante à oser frapper. Comme tous les samedi, c’est ton rendez vous hebdomadaire chez ton tuteur. Tu sais que cette semaine tu as merdé, surtout hier soir. Même si on enlève le fais que tu as fait sauter le rendez vous de la semaine dernière, tu as clairement abusé en ne lui donnant aucune nouvelles depuis plus de 10 jours.

    Tu es donc devant sa porte… ou plus exactement… ma porte…
    Prenant ton courage à deux mains, tu finis par taper à la porte. Une voix calme te réponds: ” Tu peux entrer.”
    Tu tourne la poignée et entrouvre doucement la porte. Tu passes la tête et tu tombe directement sur mon regard, celui ci n’a pas changé, il me confère un air toujours aussi autoritaire … ce regard qui te transperce, qui te donne l’impression qui si tu essaye de me mentir ou de me cacher quelque chose, je le verrai instantanément…. Ce regard qui te donne l’impression …de te retrouver nue, sans défense. 
    Il est désormais trop tard pour reculer. Tu ouvre entièrement la porte et franchis le pas. Tu lâches un petit” bonjour” un poil hésitant. 

    Je suis la, assis sur le canapé, un livre à la main, habillé comme d habitude d’un jean et de d’une chemise noir. Mon regard se porte sur toi, et tout en posant mon livre je te réponds d’un « bonjour » à mon tour. Je t’invite à entrer et à venir t’asseoir sur le canapé. Tu hésites un instant avant de te rapprocher pour finir par venir t’installer sur celui ci. La position dans laquelle tu t’es assise trahie la tension que tu es en train de subir… Tes genoux sont serrée, tes pieds essayent de filer sous le canapé… tes mains sont sur tes cuisses… Vu le stress que tu dégages… tu dois avoir pas mal de choses à te reprocher…

    Je te demande si tu veux boire quelque chose, mais tu me réponds que non, tu as envie que ce rendez vous ne dure pas, tu es anxieuse et tu n as pas envie d avoir à m affronter. Alors que je te parle, tu n’ose pas me regarder dans les yeux.
    Je te questionne de façon courtoise sur ta situation et afin de savoir si tout vas bien. Tu ne me réponds que par des petits “Oui”, ne prenant pas le risque de t étaler sur les sujets. 
    ” Bien , alors comment pourrais tu m expliquer ton manque de sérieux au sujet de ton comportement vis à vis de moi? ”
    Tu savais pertinemment que cette question allait arrivée et pour autant tu n as pas pris la peine d’essayer de broder la moindre excuse…  Apres tout ces deux dernières semaines, les sorties, les copines, les garçon et les fêtes, tu n avais aucune envie qu un rabat joie de tuteur te gâche ton plaisir… 

    Tu essaye de bredouiller quelques mots, mais tu te résignes rapidement, tu sais que tu ne t’en sortiras pas cette fois ci… Cette fois ci tu vas devoir assumer ton comportement et que j’attends des explications. 
    Tu finis par baisser la tête et me répondre que tu n as pas d excuses, que tu voulais pouvoir profiter sans te prendre la tête. 
    Je laisse un silence qui te stresse, avant de me lever du canapé. Tu me vois en face de toi, les sourcils froncés.  
    Malgré mon regard perçant, tu m’as pour la plupart du temps vu sourire, mais cette fois ci mon visage te paraît froid…
    ” mademoiselle, jusqu’à aujourd’hui j ai été très patient avec toi… J ai pris en compte tes petits caprices et j ai opté pour une méthode te responsabilisant…” 
    ” Mais ces dernières semaines tu m as beaucoup déçu… ” 
    Je laisse planer un silence avant de reprendre.
    ” J ai l’impression que tout ce travail réalisé avec toi n a servit à rien…” 
    Tu n oses pas me répondre, tes yeux  sont rivés sur tes pieds, le ton de ma voix ne t’es pas habituel… et que pour couronner le tout chacune de mes phrase et marqué d’un grand silence… je prendre mon temps entre chaque phrases.
    ” J ai beaucoup réfléchis à ton cas cette semaine, et je pense qu il est temps de changer notre façon de fonctionner.” 
    ” Jusqu’à maintenant j avais décidé d agir avec toi comme avec une adulte responsable, mais je me rends compte que tu te fiche de moi et que tu te comporte comme une gamine !”

    ” j ai donc décidé que j aillais te traiter comme une gamine !”

    Je me rapproche de toi avant de t ordonner de me regarder dans les yeux. C est avec beaucoup de difficulté que tu obtempères. Mon visage est proche du tien et mon regard est très lourd à supporter. 

    ” Tu as une idée de comment on procède avec les gamine qui n écoute rien ?” 

    N osant même pas répondre, tu te remet à fixer tes pieds en espérant pouvoir fuir la question. 

    ” Non ? Et bien je vais t en donner un aperçu !”  
    Je t’attrape par la main et tire sur celle ci afin de te faire te lever à ton tour. Te voila debout devant, moi, je te demande de me regarder dans les yeux, choses que tu réalises malgré ta crainte.
    «  Désormais je vais utiliser un discipline beaucoup plus stricte avec toi, et cela va commencer maintenant… avec une bonne vieille fessée … »
    Tu n’en crois pas tes oreilles, ai je bien dis une fessée ? Ce n’est pas possible, je ne vais pas pouvoir oser te faire ca !
    Perdue dans tes pensées te faisant monter le rouge au joues, il ne te viens même pas à l’esprit de te débattre ou de tenter de négocier alors que je suis en train de te tirer vers moi et d’entamer de te basculer en travers de mes genoux.
    Le temps que tu reprennes tes esprit tu es couchée sur mes jambes, ta tête est à proximité du sol, tes pieds pendent de l’autre coté, et tu as les fesses en l’air. Tu n’arrive pas a y croire , jamais tu n’aurais imaginer te retrouver dans cette situation… si honteuse.
    Tu n’as pas le temps d’y penser bien longtemps car une première claque arrive sur ta fesses droite, te faisant sursauter de surprise. Une deuxième arrive sur la gauche
    Les claques sur ton jean ne te font pas très mal, mais tu trouve cela très humiliant ! Même si tu reconnais que tu t’es comporté comme une chipie, tu es désormais adulte et je n’ai pas le droit de te traiter comme ça ! Et pourtant tu ne dis rien. Les claques sur tes fesses continuent à tomber, même si l’impact de chacune n’est pas très appuyée, à force de répétition tu commence à sentir tes fesses chauffer progressivement. Les claques tombent aléatoirement, ne te laissant pas la possibilité d’anticiper leur impacts. Tu ressent d’ailleurs ceux ci tomber de plus en plus rapidement… et de plus en plus forts. Tu commences d’ailleurs à remuer légèrement du popotin en espérant que cela atténuera un peu l’effet de la fessée.
    J’accélère la cadence et la pour le coup le résultat n’est plus le même. Tu sens tes fesses qui prennent un sacré coup de chaud, et ce sont les impacts qui commencent a te faire te dandiner. Tu commence même à serrer les dents.
    D’un coup, la fessée s’arrête, te laissant la en travers de mes genoux. Ta première pensée est « Tiens ? C’est déjà fini »
    Mais à peine ton cerveau a-t-il supposé que le mauvais quart d’heure est terminé, tu m’entends te dire :
    « Soulève ton bassin »

    Interloqué par cette phrase, tu tourne la tête vers moi avec un air interrogateur, découvrant mon regard de glace.
    « Bon relève toi. »
    Tu te relèves et passe rapidement tes mains sur les fesses.
    « Baisse moi ce jean »
    « pardon ? » réponds tu alerte.
    « Tu ne crois quand même pas que ta correction est terminée ? Et encore moins que je vais abîmer longtemps ma main sur ton jean ? Alors baisse moi ton pantalon avant que je le fasse moi même… »
    A ces mots, tu n’ose pas réagir, tu reste devant moi, figé à l’idée de ce qu’il va t’arriver.

    « Ok, met tes mains sur la tête »
    Tu leves lentement les mains alors que je t’attrape par la taille, je te tire un peu vers moi avant de m’attaquer au bouton de ton jean. Je défais celui ci avant d’attraper la taille de ton jean. Je tire celle ci d’un coup sec vers le bas, te faisant te retrouver ainsi en culotte devant moi.
    Le jean au cheville, je saisis a nouveau ton poignet avant de te basculer sur mes genoux.
    La fessée reprends aussitôt, les claques te paraissent bien plus fortes, même le bruit des impacts est différent. Le jean ne protégeant plus tes fesses, tu ressens bien chaque différents impact que ma mains t’assenne.
    Les claques commencent à tomber comme une pluie, elle déferlent à grande vitesse sur tes petites fesses. Tu sens que celles ci commencent à te brûler, tu les imagines déjà avoir pris une sacrée teinte.
    Cette sensation de chaleur commence à devenir forte, et la douleur des impacts commence aussi à irradier tes fesses. Tu croises les jambes afin d’empêcher celles ci de commencer à bouger et tu n’arrive plus à penser à autre choses que ces coups qui tombent sur tes petites fesses.
    Soudain, la fessée s’arrête à nouveau. Quelques secondes passent sans que tu n’ose bouger, avant que tu prenne l’initiative d’essayer de retoucher le sol avec les pieds. Tu sens ma main gauche venir appuyer sur le bas de ton dos pour te replacer sur mes genoux.
    « T’ai je dis que c’était finis ? »

    « Mademoiselle, quand je dis qu’il s’agit d’une bonne fessée, c’est d’une fessée déculottée dont je parle. »
    A ces mots tu t’empourpre instantanément. Tu sens ma main droite venir saisir le haut de ta culotte. Pour la première fois tu réagit en lâchant un petit non et tu essayes d’agripper ta culotte pour la maintenir, mais en vain. Je saisis ton poignet avant de venir imobiliser celui ci dans ton dos. De ma main droite je reprends le mouvement. Tu sens le tissus de ta culotte glisser lentement le long de tes fesses et malgré la chaleur que dégage déjà celles ci, tu sens la légère caresse que produit le contact de l’air sur ton derrière nu.
    Te voila désormais complètement déculottée. Ta culotte a glissé jusqu’à tes chevilles, te mettant dans une fâcheuse posture. Ton visage est écarlate, te retrouver ainsi fesses à l’air t’embarrasse énormément.
    J’en profite pour te rajouter une petite phrase assassine :
    « Voilà mademoiselle, si vous aviez su que vous finiriez par recevoir une fessée cul nu aujourd’hui, je pense que vous auriez été plus sage…et vous auriez envisager le programme de ces dernieres semaines differement… »
    A peine ma phrase terminée que je reprends la fessée. Les premières claques tombent et t’arrachent déjà de petits gémissements. Les claquements résonnent dans tes oreilles et la douleur et bien plus vive.
    J’accélère progressivement la cadence de la fessée, tout en prenant bien soin de m’occuper de la totalité de la surface de ton postérieur. Ce dernier a déjà pris une joli couleur. Les coups successif te font reprendre cette petite danse que tu réalises en espérant pouvoir atténuer les impacts.
    Tu serres déjà les dents alors que la cadence est en train de continuer à accélérer. Tes fesses te brûlent et tu sais que tu ne peux rien faire pour y échapper. Tes jambes commencent à leur tour à se mouvoir, signe d’une vaine tentative de fuite, avant de s’emballer dans une course irréalisable.
    Les claques déferlent, leur effet est impressionnant, tu n’arrive plus a penser à autre chose, tu en as même oublié la honte que tu ressentais quelques secondes avant.
    La fessée se poursuit et tu commence a vraiment espérer que celle ci s’arrête. Tu lâches de petits cris et te résigne même à me demander pardon.
    Je réalise une dernière accélération te faisant te cambrer par son intensité, juste avant de cesser cette punition.
    Tu reste la, quelque secondes sur mes genoux à chercher à reprendre ton souffle. Tu n’ose pas bouger, tu ne le feras pas tant que je ne te l’aurais pas dit. Tes fesses te brûlent toujours, tu as l’impression qu’elles dégagent une chaleur impressionnante.
    Tu sens ma main se poser sur tes fesses, celle ci réalise un passage sur la surface de celles ci, avant de te donner une dernière petite claques peut appuyé sur les fesses.
    « Relèves toi » te dis je d’une voix douce.
    Tu te relèves avant de te placer face a moi.
    « Mets tes mains sur la tête »
    Tu t’exécute sans réfléchir.
    « Tu viens de recevoir ta première punition pour ton mauvais comportement, j’espère que ça sera la dernière… car si cela doit arriver à nouveau, je risque fortement de continuer jusqu’à ce que tu en ai les larmes au yeux… C’est clair ? »
    Tu me réponds d’un « oui monsieur »
    « Très bien, maintenant tu vas te placer face au coin, mains sur la tête et tu laisse ton jean et ta culotte aux chevilles. »
    Sans opposer la moindre résistance, tu te dirige jusqu’au coin en réalisant de petits pas, entravée par tes vetements au chevilles.
    « Tu reste la à fixer le coin. Interdiction de bouger ou de te frotter les fesses jusqu’à nouvel ordre, c’est clair ? »
    « Oui monsieur »

    Étonnamment… tu n’as jamais été aussi prompte à répondre à mes demandes…
    Le temps te paraît long, mais 10 minutes plus tard, je t’autorise à quitter le coin, te demande de venir me montrer l’état de tes fesses, avant de t’autoriser à te reculotter. Je t’invite ensuite a te réinstaller dans le canapé et te donne un thé bien chaud pour te faire reprendre tes idées.

    – Vous aurez beau faire Monsieur, dit la jolie marquise, vous n’aurez jamais mon cœur.
    – Je ne visais pas si haut, Madame.

    Le Bourgeois gentilhomme

    #32357
    Anonyme
    Inactif


    Je vais me répéter mais j’adore votre style et vos récits 😉

    #32358
    LeClaqueFesses
    Participant


    Merci , Il est toujours plaisant de lire qu’un récit écrit par sa main, plait à quelqu’un 🙂
    C’est un peu comme savoir que votre main… a donnée une bonne fessée bien méritée…. à une vilaine reconnaissante ?

    Vous devriez essayez ! Je parle de publier un récit… pas de donner une fessée 😉

    – Vous aurez beau faire Monsieur, dit la jolie marquise, vous n’aurez jamais mon cœur.
    – Je ne visais pas si haut, Madame.

    Le Bourgeois gentilhomme

    #32361
    Anonyme
    Inactif


    J’y pense cher Monsieur , j’y pense (à publier un récit ) !! 😉

    #32376
    Anonyme
    Inactif


    C’est le deuxième récit que je lis de vous @leclaquefesses et je dois dire que ça fait frissonner à chaque fois ! C’est comme si on y était. J’aime cette originalité d’utiliser la deuxième personne comme si vous vous adressiez à la jeune fille. Surtout que, (par rapport au premier récit), je m’y suis reconnue ; surtout dans sa façon de travailler x)

    Bref
    J’attends vos prochaines publications avec impatience !!

    #32377
    LeClaqueFesses
    Participant


    C’est un plaisir Aurelie, comme je l’ai dis précédemment à Caline, je suis ravi que cela puisse plaire à des lectrices et lecteurs;)
    Quand je les écris (même si ceux ci datent un peu) j’aime à penser que la personne pourra s’immerger dedans au fur et à mesure de la lecture. Si j’arrive à ne pas utiliser de prénom pour le personnage principal, c ‘est encore mieux (au pire copier le et remplacer le prénom par le votre ? )
    Il m’en reste quelques uns qui datent eux aussi, mais je compte aussi m’atteler à l’écriture de nouveau récits, j’espère qu’ils vous plairont aussi 😉

    – Vous aurez beau faire Monsieur, dit la jolie marquise, vous n’aurez jamais mon cœur.
    – Je ne visais pas si haut, Madame.

    Le Bourgeois gentilhomme

    #33160
    Saku
    Participant


    Quel beau récit que je découvre depuis mon retour
    Belle plume Monsieur
    Je m’imaginais tellement a la place de cette demoiselle que j en frissonne
    Votre charisme et votre autorité assorties d un brin de douceur me fait penser a mon ex tuteur …
    Au plaisir de vous lire de nouveau

    - Ne rate jamais une occasion de faire une bêtise

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