Switch or not switch

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15 sujets de 1 à 15 (sur un total de 32)
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  • #8723
    Paulparis
    Participant


    J’ai bien compris l’orientation très claire de ce forum. Ici l’homme fesse – et re fesse – la dame. Et c’est parfait ainsi.

    Pour autant l’homme que je suis en aura reçu, des corrections en tout genre. Hier encore, j’ai reçu la cane et la ceinture sans modération et mes fesses s’en ressentent encore aujourd’hui ! Cela ne m’empêche pourtant pas de trouver un réel plaisir à fesser sévèrement de jolis derrières féminins et de passer de l’autre coté du manche du martinet…

    J’y avais même un avantage certain : je sais ce que j’inflige, je connais parfaitement l’effet cinglant de la cane en rotin, l’effet lourd de la cravache épaisse, l’effet regrettable de la mèche du fouet qui déborde de la zone qu’on s’était fixé. Lorsque je fesse sévèrement, je mesure probablement mieux que d’autre l’intensité de la douleur que m’inflige..

    A contrario, certaines de mes camarades estiment qu’être punie par un homme qu’on peut imaginer lui aussi cul nu sur les genoux d’une femme nuit à sa crédibilité de mâle dominant et n’envisagerai pas d’être soumise à un homme qui peut même envisager de l’être.

    Et vous, vous en pensez quoi ?

    Smack et clac

    #8725
    Anonyme
    Inactif


    Moi ça ne me dérange pas. Mon tout premier partenaire était switch, et ça ne l’empêchait pas d’être totalement dans son rôle dominant avec moi.
    Après le plus drôle reste encore de faire switcher celui qui ne veut pas ?, allez… Laquelle n’a jamais tenté de claquer les fesses du fesseur ? ??

    #8726
    Anonyme
    Inactif


    De mon côté, je ne serais pas aussi rédhibitoire que certaines de vos camarades, mais je préférerais que mon partenaire ne me parle pas des fessées qu’il a reçu. Sinon c’est vrai que ça pourrait ternir son “aura” auprès de moi

    #8727
    Anonyme
    Inactif


    J’ai également toujours refusé d’être fessée par un homme switch. Je trouve que ça suspend totalement l’autorité qu’il peut avoir sur moi. Cependant, les arguments qu’avance Paulparis sont fort convaincants…

    #8729
    Paulparis
    Participant


    J’ai également toujours refusé d’être fessée par un homme switch. Je trouve que ça suspend totalement l’autorité qu’il peut avoir sur moi. Cependant, les arguments qu’avance Paulparis sont fort convaincants…

    il ne me reste plus qu’à vous administrer une fessée magistrale pour vous convaincre complètement 🙂

    #8733
    Anonyme
    Inactif


    Ah ah, désolée Paulparis ! Je suis déjà prise en mains et exclusive ! Mais si cela n’avait pas été le cas, ça aurait été avec plaisir !
    Néanmoins, si un jour vous avez besoin d’un public, vous savez où me trouver…

    #8736
    Anonyme
    Inactif


    De mon côté, c’est arrivé. La crédibilité, l’aura ou que sais-je encore (selon comment on voit les choses) est ailleurs dans mon esprit.

    #8743
    Paulparis
    Participant


    Néanmoins, si un jour vous avez besoin d’un public, vous savez où me trouver…

    Merci pour cette suggestion, petite Princesse,@littleprincess , suggestion que je garde dans un coin de mon cerveau obsédé. Il m’arrive en effet de fréquenter des lieux de partage de notre fantasme favori. Parfois comme soumis…parfois comme dominateur…

    #8748
    lunapower
    Participant


    Moi aussi je switche comme dit Paul ça permet de mieux connaître les effets des instruments, de mieux appréhender les réactions. Mes partenaires de jeu le savent mais je ne m’étends pas sur le détail des fessées reçues.

    Si elles veulent un fesseur elles ont un fesseur 😉 et je dirais même que le fait de savoir que je sais ce que ça fait peut parfois avoir un côté rassurant pour certains instruments!!!

    Après switcher avec la même personne je pense que ça dépend du type de relation si elle est plus “disciplinaire” ou “ludique” 🙂

    https://lesaventurescuisantesdecamille.blogspot.com/

    #8750
    Fraise Des Bois
    Participant


    Définitivement not switch pour moi… Il me parait incohérent et dès lors assez prohibitif que celui à qui je donne autorité ne soit pas une référence en matière de discipline. Or, s’il a besoin lui-même de se faire corriger, c’est qu’il est aussi “soumis” voire indiscipliné que j’aime l’être. Et du coup, ça casse son image et surtout sa légitimité. J’ai cependant testé une fois. Je détestais qu’il m’en parle, ou pire, qu’il me demande d’inverser les rôles. Je l’ai fait un tout petit temps pour lui faire plaisir mais vraiment, je faisais tout pour occulter cette part de sa personnalité. C’était il y a longtemps, quand je voulais bien faire des concessions. Aujourd’hui, ce serait inenvisageable pour moi.

    "Fi des femelles décharnées, vive les belles un tantinet rondelettes !"

    #8829
    Anonyme
    Inactif


    Tout d’abord, je précise que je ne réponds pas au sujet en connaissance de cause, puisque je n’ai jamais fréquenté de partenaire “switch”. Néanmoins, j’ai mes petites idées sur la question et, à l’instar de @fraise ou @littleprincess, j’ai du mal à concevoir que mon partenaire puisse se situer des deux côtés du manche à la fois.

    Pour mon cas, je dirai que c’est surtout une question d’image, et d’apparences. C’est beaucoup me demander que de me soumettre à une autorité masculine, ainsi qu’aux châtiments cuisants et humiliants qui me sont infligés. Autant dire que ce n’est pas avec le premier venu, et que je choisis avec minutie la personne me prenant en charge. Dans mon idéal, je recherche un homme qui se rapproche le plus de MON “modèle de perfections”, tel que JE le conçois. Il est loin d’être universel, il est même au contraire très personnel, mais il représente un ensemble d’éléments et de petits détails auxquels je suis sensible et qui me font craquer.

    Personnellement, j’ai un réel besoin d’assimiler mon partenaire à un modèle à suivre. Prenons un exemple parmi d’autres : imaginons que je ne suis pas très sérieuse dans mes études, je j’admettrais pas d’être punie par un homme qui rencontre les mêmes difficultés, et qui se montre tout aussi dissipé que moi. C’est assez exigent, je le reconnais, mais je n’arrive pas à l’envisager autrement. 🙂

    @paulparis => Moi, ça ne me rassure pas plus que ça de savoir que mon partenaire “connait” les effets des différents instruments pour la fessée. D’une part, parce qu’on est tous très différents en terme de sensibilité, de douleur, ou de limites… Et puis, dès lors que j’accorde ma confiance à un homme, je considère qu’il saura jauger, et mesurer sa sévérité en fonction de moi, et de mes manifestations.

    Je pense que ce n’est pas pour moi, en définitif. Mais ça l’est pour d’autres, et c’est très bien ainsi. 🙂

    #8832
    anatole
    Participant


    Il me semble que deux parties essentielles du sujet n’ont pas été abordées….En ce qui me concerne, je reste désespérément et obstinément du côté obscur de la force (de frappe), ce qui ne m’a pas empêché de temps en temps de recevoir quelque correction. Tout d’abord, juste pour comprendre et essayer de ressentir ce que j’infligeais à “l’autre’, une sorte de test, une curiosité, et savoir jusqu’où ne pas aller trop loin, et comment gérer douleur et plaisir. Ensuite, et vous tous et toutes qui aimez être fessé, vous ne pourrez nier qu’il existe dans cette pratique des sensations purement physiques fort agréables à ressentir…alors puisqu’il en est ainsi, pourquoi s’en priver. Quant à “l’autorité”, je pense qu’elle ne passe pas par ce chemin, avoir reçu ou pas. Pour moi, la fessée reste un jeu érotique, et même s’il a pu m’arriver de faire les gros yeux, et de jouer au super dominateur, ça ne reste qu’un plaisir (de plus) partagé, et donc quitte à partager….mais il est vrai que je n’ai jamais été dans le cadre de le fessée punitive…trop de respect pour les femmes qui m’ont prêté leur corps ne serait – ce qu’une demie heure dans leur vie (je vous rassure…parfois ça a duré plusieurs années….!)

    Je me sentirais vieux le jour où mon sexe ne me servira plus qu'à pisser

    #8834
    Anonyme
    Inactif


    Je rejoints mes consœurs @fraise et @amanda. Je peux comprendre les personnes qui switchent et ce que cela leur apporte. Mais ce n’est définitivement pas pour moi.

    J’y avais même un avantage certain : je sais ce que j’inflige, je connais parfaitement l’effet cinglant de la cane en rotin, l’effet lourd de la cravache épaisse, l’effet regrettable de la mèche du fouet qui déborde de la zone qu’on s’était fixé. Lorsque je fesse sévèrement, je mesure probablement mieux que d’autre l’intensité de la douleur que m’inflige..

    Je comprends votre point de vue, mais vous parlez uniquement de la douleur, or, pour ma part, l’impact psychologique d’une fessée est plus important. Je parle ici de l’humiliation, cette douce honte que l’on ressent lorsqu’on s’apprête à recevoir une fessée déculottée sur les genoux d’un homme, et toutes ces autres situations disciplinaires et infantilisantes aussi infamantes les unes que les autres… Cette humiliation compense la douleur, et j’ai comme l’impression qu’elle la rend plus supportable, c’est le cas pour moi en tout cas… (parce que c’est si bon la honte…)

    Je pense, mais je me trompe peut-être, qu’un dominant, (qui se nourrit de l’humiliation de sa partenaire) n’a nul besoin de switcher pour comprendre et manier à sa guise cet état psychologique qui nous habite, dès lors qu’il est doté d’empathie, et je ne parle pas ici de la compassion mais bien de cette merveilleuse faculté à s’imaginer à la place de l’autre pour comprendre ce qu’il ressent…

    #8837
    Paulparis
    Participant


    @liberty. Vous avez raison. Un excellent dominant n’a pas besoin d’être passé par la case “soumis” pour être un fin psychologue ni un habile utilisateur du fouet. Mais à l’inverse, le fait d’aimer switcher apporte une expérience supplémentaire qui peut parfois apporter un plus. Vous avez également raison de dire que cette expérience ne saurait se limiter à la douleur mais aussi à l’aspect psychologique. J’ai été fessé en public. Je comprend parfaitement ce que vous voulez dire ! Et le partage !

    #8841
    Anonyme
    Inactif


    Tout comme @amanda, j’ai toujours eu un idéal fesseur bien précis, j’ai d’ailleurs enchaîné les fesseurs, jusqu’à trouver LE fesseur idéal à mes yeux.
    Il fallait qu’il ait l’autorité nécessaire pour me faire plier puisque je suis difficile. Si je l’imaginais en train de se faire fesser, ça enlevait toute crédibilité à mes yeux… Il me fallait un vrai homme dominant, impossible de l’imaginer soumis. Certains fesseurs avaient déjà du mal à s’imposer auprès de moi en étant juste fesseurs alors si en plus ils étaient switch, je leur aurais ri au nez !!

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