La mauvaise note
Accueil › Forums › Discussions générales › Récits › La mauvaise note
- Ce sujet contient 3 réponses, 4 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par Anonyme, le il y a 3 années et 10 mois.
-
AuteurMessages
-
26 mai 2020 à 16:15 #48257spankmasterParticipant
Abi fessée par SpankMaster
Je m’appelle Abigaëlle. En cette année 2009, j’ai 20 ans et ça fait un peu plus d’un an que
Spankmaster me coach dans mes études. En effet, n’étant pas une très bonne élève et mes parents
étant souvent absents, j’ai décidé de prendre les choses en mains… Ou plutôt, de me faire prendre
en main par quelqu’un qui saura me mettre au travail. Je le vois donc assez régulièrement et, lorsque
je le mérite, il me punie sévèrement, jusqu’aux larmes. Je le crains vraiment mais en même temps
c’est quelqu’un de très gentil qui sait aussi me récompenser quand je travaille bien. Il est toujours
présent quand j’ai besoin de lui, il est presque devenu un deuxième père pour moi. J’aime qu’il
s’occupe de moi.
Je redouble ma deuxième année de BTS et je vais être coachée tout au long de l’année. J’ai reçu la
veille de la rentrée une bonne fessée cul nu en guise de « preview » de ce qui m’attendait si je
m’avisai de manquer de concentration dans les études. C’était il y a un peu plus d’un mois et je m’en
souviens très bien, j’en ai encore les fesses chaudes rien que d’y repenser tellement ça a bardé (cf le
récit « la rentrée scolaire »). Aujourd’hui, on nous rend la première note de l’année. C’est avec la
boule dans le ventre que j’attends ma copie… La prof d’anglais s’approche et me dit « Abigaëlle, huit
sur vingt, c’est insuffisant ! » Immédiatement, ma gorge se serre et je sais que ce soir je vais pleurer.
Je n’arrive plus à me concentrer de la journée, la fessée qui m’attend me trotte dans la tête et me
bouleverse. J’ai à la fois une boule dans le ventre tellement j’ai peur mais en même temps mon sexe
est humide… Je suis très troublée…
Je rentre chez moi à 17 heures et informe mon coach par téléphone qu’il faut que je passe chez lui
dans la soirée. Il me dit de venir pour 20 heures. En attendant, je décide de m’épiler intégralement et
de me doucher pour que la sanction ne soit pas plus dure qu’elle ne le sera déjà. En effet, il exige que
je sois lisse comme une petite fille puisque je suis punie comme telle. Si jamais j’ai le malheur d’avoir
des poils sur la chatte ou entre les fesses, je reçois une punition supplémentaire : il m’installe des
pinces sur les seins avant de m’envoyer au coin.
J’arrive donc chez lui à 20 heures. Il n’est pas encore au courant du motif et est gentil avec moi, il
m’offre un verre et on parle un peu… On plaisante, l’ambiance est chaleureuse, j’aime vraiment
passer du temps avec lui. Mais ce soir je ne suis pas venue pour ça hélas, et je me décide enfin à aller
chercher ma copie. Je la lui tends, il la saisie, regarde la note puis ajoute :
– « 8 ! De qui est ce que tu te fiches ? »
– « De personne… Ce n’était pas facile ce contrôle… J’avais révisé »
– « Les mauvaises excuses mènent au redoublement et tu le sais très bien ! Ce n’est pas une note
acceptable ! On a déjà parlé des conséquences qu’auraient une telle note, n’est-ce pas ? »
– « oui… » Dis-je tout bas en baissant les yeux… Je ne suis pas fière du tout
– « Baisse ton jean et ta culotte et attends-moi les mains sur la tête pendant que je vais chercher le
paddle. » Dit-il en partant dans son bureau.
Honteusement, je déboutonne mon jean puis le baisse, ainsi que ma culotte, jusqu’à mes chevilles. Je
mets ensuite les mains sur ma tête. Me voilà exposée au milieu du salon, la peur au ventre. J’ai
vraiment honte, je sais que dans quelques instants je vais pleurer à chaudes larmes pendant une
bonne fessée à l’ancienne. Tout mon corps tremble, mes mains sont moites, mes boyaux font des
nœuds… Mais les minutes passent et il ne revient pas… Je sais qu’il joue avec nerfs et me laisse
volontairement dans cette attente insupportable. Il sait que la torture psychologique est très efficace
sur moi, voire même autant que le châtiment corporel. Le temps passe lentement, et je suis toujours
vouée à moi-même, debout, l’intimité à l’air… Ma peur fini par avoir le dessus et, au bout d’un bon
quart d’heure, je me mets à pleurer, toujours les mains sur la tête. Il revient alors, paddle en main.
Un gros paddle en bois, épais avec des trous au milieu. Il vient en face de moi et me dit : « Regarde-
moi dans les yeux, Abi » Je lève alors les yeux vers lui. Il ajoute « Tu sais bien que tu le mérites, je fais
ça pour ton bien. Alors maintenant je t’écoute, demande-moi, à haute voix et en articulant ». Je sais
ce que je dois dire, une phrase qui me fait vraiment honte et qui m’arrache la bouche « J’ai été une
vilaine fille, je mérite une bonne fessée déculottée ». Il m’attrape alors par le bras et me tire jusque
dans la chambre. Il ferme la porte puis s’assied sur le lit. Je m’allonge sur ses genoux sans faire
d’histoire. La fessée commence immédiatement, sans me laisser le temps de respirer. Il frappe fort,
je pleure toutes les larmes de mon corps. La fessée est longue et cuisante, je danse sur ses genoux au
rythme des coups. Après cette sévère fessée, il me relève puis m’accompagne au coin.
– « Tu as été punie pour ta mauvaise note. Maintenant tu restes ici sagement jusqu’à ce que je vienne
te rechercher. Les mains sur la tête, déculottée. Tu as compris ? »
– « Oui »
– « Ensuite on s’installera à mon bureau et tu referas le test d’anglais. Comme vous avez eu la
correction en cours, tu feras un sans-faute. »
Moi qui était rassurée que ce soit fini, sa dernière phrase me glace le sang. Il compte vraiment me
faire refaire ce contrôle ? Et si je ne fais pas un sans-faute que se passera-t-il ? Quand j’ai vu ma note
ce matin, je n’arrivai plus à me concentrer, je n’ai absolument pas suivi la correction des exercices, je
ne sais rien faire… dix minutes plus tard il revient, il me reculotte puis on s’installe au bureau où il me
redonne le même polycopié qu’il a pris le temps de recopier pendant que je l’attendais au salon tout
à l’heure. J’ai du mal à m’assoir sur la chaise. Mais il se rend rapidement compte que je ne sais
toujours rien en anglais. Il ajoute :
– « C’est archi faux ce que t’es en train d’écrire ! Tu n’as pas écouté la correction ou quoi ? J’aimerai
bien que tu te concentre pendant les heures de cours, c’est totalement inacceptable ! Je suis désolé
mais tu vas recevoir une autre fessée, lève-toi ! »
– « Mais je… Attends non… Je te promets de faire mieux la prochaine fois »
– « T’as intérêt ! Allez, debout ! »
Je me lève en fondant en larmes. J’ai déjà les fesses bien rouges et je vais recevoir une deuxième
fessée, ça va faire mal !
– « Cette fois-ci je vais te punir avec la brosse ! Allez, mets-toi complètement nue. »
– « Quoi ? Comment ça complètement ? »
– « Oui, tu enlèves ta culotte, ton soutien-gorge, tes chaussettes…. Enfin tout ! Allez ! Dépêche-toi ou
c’est moi qui le fais à ta place. »
N’osant pas me déshabiller, je le fixe dans les yeux. Il met alors sa menace à exécution et me
déshabille. Il commence par enlever mes chaussettes, puis enlève mon pantalon et ma culotte qu’il
jette sur le lit. Il retire ensuite mon T-shirt puis mon soutien-gorge. Il me penche ensuite en avant,
sous son bras. Il attrape la brosse à cheveux qui était déjà présente sur le bureau puis frappe fort
mes petites fesses. Je sens mes jeunes seins nus se balancer au même rythme que la brosse à
cheveux sur mon postérieur. J’ai tellement mal que je ne tiens plus debout et je m’effondre. Il me
ramasse alors et me jette sur le lit, puis il enlève sa ceinture et la fais voler en travers de mon fessier.
Je pleure très fort. La punition est très dure. J’en ai l’esprit vide, je ne pense plus à rien, je vie
l’instant présent, seconde après seconde, coup après coup… Mon ventre et mes seins nus qui
frottent sur la couette fraiche, la ceinture qui cingle mes fesses, le bas de mon dos qui est écrasé par
sa grosse main, mes jambes qui battent dans tous les sens, ma chatte toute lisse qui dégouline de
désir… Enfin la fessée s’arrête. Il me relève alors péniblement et me serre contre lui : – « T’as eu ce
que tu méritais, mais je t’adore ! Allez, rhabille-toi et va te coucher parce que demain il y a école. »
C’est avec les fesses douloureuses et la culotte mouillée que je rentre chez moi, avant de me donner
un triple orgasme avec mon vibromasseur. Quel délice ! Les fessées c’est génial quand c’est fini !www.rencontrefessee.fr
27 mai 2020 à 14:10 #48309Badine79Participant
Bravo joli recit
27 mai 2020 à 20:02 #48325LotharioGrimmParticipant
Voilà une bien sévère punition ! C’est ce qui arrive quand on ne révise pas assez ses leçons.
Mais bon, elle a déjà compris qu’elle devait être épilée intégralement. Elle sait qu’elle n’échapperait pas à une punition si son tuteur constatait une négligence sur ce point.
J’aime bien l’idée de mettre la punie entièrement nue en cas de récidive. C’est la honte totale
Mais est-ce que Abigaelle avait la permission de se faire du bien en rentrant chez elle après la fessée ? Je ne suis pas certain !Je suis un homme de 44 ans habitant en région centre. Attiré par la fessée depuis mon adolescence.
29 mai 2020 à 11:23 #48373AnonymeInactif
Beau récit d’une sévère punition en effet.
-
AuteurMessages
- Vous devez être connecté pour répondre à ce sujet.